Ukraine, Russie, OTAN Organisation du traité de l'Atlantique nord, ONU Organisation des Nations Unies, Dombass, guerre, violence, diplomatie, forces militaires, navire militaire, mer d'Azov, axe maritime stratégique, Vladimir Poutine, Crimée, port d'Odessa, URSS Union des républiques socialistes soviétiques, Boris Eltsine, Kiev, Petro Porochenko, BBC British Broadcasting Corporation, New York Times, Donald Trump, G20, guerre froide, Moscou, Washington, France
Suite à la chute de l'URSS en 1991, les anciens États se sont séparés et les relations entre ex-États soviétiques ont parfois elles aussi été dégradées, comme cela a été le cas pour la Russie et l'Ukraine. En effet, l'État Russe connaît encore de nombreuses tensions avec l'Ukraine, État limitrophe au sud ouest de la Russie. Ces tensions perdurent entre les deux États depuis maintenant plusieurs années, et se sont accentuées une nouvelle fois lors de la capture des trois navires militaires ukrainiens en mer d'Azov le 25 novembre. Ce litige a conduit à la prise de mesures juridiques par l'État ukrainien, mais a surtout suscité le mécontentement des institutions telles que l'OTAN et l'ONU, reprochant à la Russie d'avoir eu recours à la violence en premier lieu, sans d'abord utiliser la diplomatie. Ce n'est pas la première fois que les forces militaires respectives des pays prennent les armes.
[...] Оба государства несут взаимную ответственность за инцидент. Россия обвиняет президента Украины Петра Порошенко в заговоре, но Украина говорит, что виновата русская. После инцидента учреждения требуют умиротворения. Украина ввела военное положение, а Россия установила барьер между Крымом и Украиной. Пресса и СМИ говорили о предмете по всему миру, они не все согласны. Мнения разные из-за политики и международных отношений - Российские СМИ обвиняют Украину, Франция играет посредническую роль, и Соединенные Штаты обвиняют Россию в применении насилия. В заключение, ситуация менее напряженная, но вы все равно должно надзирать. [...]
[...] Nous voyons donc à l'aide des différents articles que cet incident n'est pas perçu de la même manière en fonction des états, et des presses du monde. La Russie dit avoir raison, la France - ainsi qu'une très petite partie de l'Occident - tente d'opter pour une position de médiateur, puis les États-Unis comme l'Ukraine, accuse la Russie. Ces différences de présentation et d'explication du sujet à travers les articles et les médias à travers le monde peuvent être expliquées par les différentes positions diplomatiques et politiques des États vis-à-vis de la Russie. [...]
[...] L'État ukrainien a d'ores et déjà instauré une loi martiale, acceptée par le parlement pour une durée de 30 jours interdisant l'accès à son territoire des hommes russes (15 à 60ans). Cette loi est annoncée comme une mesure de sécurité et non pas une déclaration de guerre envers la Russie. En réponse, la Russie a érigé une barrière de près de 60km entre la Crimée et l'Ukraine, enclavées il y a maintenant 4 ans. Cependant, ce conflit n'est pas une première entre les deux États postsoviétiques, surtout dans cette zone frontalière : en effet, les tensions liées à la mer Noire ne sont pas nouvelles. [...]
[...] Cependant, le problème reste tout de même amené de sorte que l'on comprenne que la faute est russe, que la politique de la présidence de Vladimir V. Poutine est particulièrement stricte et qu'une autre finalité à l'incident aurait pu exister. La presse américaine au contraire, sans se positionner en faveur de l'Ukraine, montre totalement son opposition à la Russie. À travers le texte, à commencer par le titre de l'article du New York Times, la Russie est jugée responsable des attaques et l'accusation de Vladimir Poutine déclarant que Petro Porochenko, président ukrainien, a organisé cette violation des eaux territoriales n'est pas non plus mentionnée. [...]
[...] À travers ces deux articles, les médias russes présentent l'incident comme étant uniquement la faute des navires et du gouvernement ukrainien de manière catégorique. L'usage des armes n'est pas remis en question : les fautes que les forces de l'ordre russes ont pu commettre ne sont même pas envisagées, de manière similaire à l'époque soviétique lorsque les fautes des dirigeants étaient «étouffées». La notion de propagande dans les médias russes est donc encore très présente. Les articles français, celui de «Le monde» et «Le Parisien» eux relatent les faits et permettent de voir les deux côtés du conflit, aussi bien l'avis russe que l'avis ukrainien, avec à chaque étape les explications de chacun, sans accuser ni la Russie, ni l'Ukraine : En effet, il est «Impossible de déterminer qui dit la vérité» cf paragraphe le parisien. [...]
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