souveraineté étatique, droits de l'Homme, droit international, relations internationales, Charte des Nations unies
L'Occident a excessivement manipulé la thématique des droits de l'homme pour faire triompher ses intérêts économiques au point d'engendrer le rejet massif de l'ensemble des nations du monde. Face à un monde de plus en plus multipolaire, peut-on durablement imposer les droits de l'homme à la planète entière ?
[...] ) estiment que l'histoire légitime leur rôle de garantes du droit international. Par exemple, habeas corpus Act 1679, la déclaration des droits de l'homme et du citoyen 1789, positivisme et le droit positif français, common law, convention européenne des droits de l'homme, constitution des États-Unis de 1787 et ses 27 amendements. Par conséquent, les nations occidentales s'autorisent le droit de garantir et imposer le droit international au monde entier : les nations occidentales contrôlent l'écrasante majorité des instances internationales chargées de faire appliquer le droit international. [...]
[...] Nous nous dirigeons vers un monde où la souveraineté des nations sera supérieure aux droits de l'homme . [...]
[...] Le refus d'au moins 2/3 des États de la planète de condamner la guerre Russie Ukraine soit disant au nom du droit international marque la fin « de la conception occidentale » du droit international. Les pays aspirent à un nouvel ordre international basé sur la multipolarité et le respect de la « souveraineté des nations ». De la fin d'un monde régit selon la conception occidentale « du droit international » vers des relations internationales privilégiant la souveraineté des Nations . Aux origines de l'appropriation du droit international par l'occident : les nations occidentales industrialisées (nations anglo-saxonnes, la France, l'Allemagne . [...]
[...] ) ont engendré le discrédit des injonctions nations occidentales dans leur volonté de faire respecter leur « droit international » : exemple de refus d'exclure la Russie du G20. L'émergence d'un monde multipolaire respectueux du « droit des nations à leur souveraineté » : la primauté de la non interférence dans les affaires intérieures des États, la réciprocité diplomatique, ces changements ne signifient pas pour autant l'exclusion des droits de l'homme ou leur disparition . Conclusion : L'Occident a excessivement manipulé la thématique des droits de l'homme pour faire triompher ses intérêts économiques au point d'engendrer le rejet massif de l'ensemble des nations du monde. [...]
[...] La souveraineté étatique et la protection des droits de l'homme Face à un monde de plus en plus multipolaire, peut-on durablement imposer les droits de l'homme à la planète entière ? Les droits de l'homme, essence même du droit international qui régit les relations internationales depuis 1945. La charte des Nations Unies 1945, support initial du caractère universel des droits de l'homme dans les relations internationales : organisation des nations unies, préambule de la charte, étude de la composition et du contenu de la charte, les instigateurs de la charte, aboutissement d'un long processus hérité de plusieurs tentatives infructueuses (parmi lesquelles la société des nations) Définition des droits de l'homme : définition de la conformité des États du monde aux droits de l'homme, l'incorporation de ces derniers dans le droit international est un levier essentiel du large consensus des nations du monde . [...]
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