L'eau est une ressource indispensable à la vie et aux activités humaines à laquelle nous n'avons trouvé aucun substitut. Cela fait d'elle un élément d'une très haute importance au niveau individuel, mais également au niveau étatique. En effet, l'eau a de multiples usages et est présente à tous les niveaux de la société. Cependant, tous les êtres humains ne sont pas égaux face à cette précieuse
ressource.
D'une part, il existe une répartition inégale de l'eau selon les différentes régions du monde, ce qui entraîne de fortes disparités. Dans les sociétés développées, il suffit d'ouvrir le robinet pour avoir accès à l'eau alors que dans d'autres pays, la population doit parcourir des dizaines de kilomètres par jour pour chercher de l'eau qui est souvent impropre à la consommation.
D'autre part, l'eau, de par son caractère transnational, en effet, celle‐ci n'a pas de frontières, nécessite une gestion coopérative interétatique qui entraîne des tensions entre États voisins dans de nombreuses régions du Monde. En effet, de nombreux pays doivent puiser leurs ressources en eau dans des fleuves transfrontaliers dont la source se situe dans un autre État. Ainsi, l'usage que fait un pays d'un fleuve a une incidence directe sur les autres pays qui le partagent et cela les rend alors interdépendants. On compte actuellement 263 fleuves internationaux partagés entre deux États ou plus.
C'est dans ce contexte où l'eau peut être, soit abondante, soit rare et surtout partagée que nous nous sommes demandés en quoi l'accès à l'eau a des conséquences sur les relations entre les États et l'unicité des territoires.
[...] Pour la récupérer, elle va subir le phénomène de condensation grâce à son passage en des tuyaux à refroidissement. Cette première méthode n'est pas très gourmande en énergie, sa consommation se trouve entre 7.5 et 15.5 kWh par m3. La méthode d'électrolyse et l'osmose inverse : une membrane synthétique semi‐perméable va servir de filtre et ne laissera passer que l'eau tout en retenant le sel. Cette deuxième méthode est encore plus économe concernant l'énergie, car sa consommation varie entre 4.5 et 5 kWh par m3. [...]
[...] D'ailleurs concernant leur politique intérieure, les autorités tachent d'agir en faveur de la cause verte, afin de diminuer les accès à l'eau, et forcent l'Arabie Saoudite à orienter leur agriculture vers d'autres produits tels que l'orge, le, mais ou les légumes. On sait l'Arabie Saoudite sous le régime d'un dogme musulman spécifique, le Wahhabisme. Cette interprétation de l'islam, apparue dans la péninsule au XVIIIe siècle, fut enseignée par un certain Mohammad Ibn Abd Al‐Wahhab (1703‐1787). On la dit hanbalite, c'est à dire appartenant à la tradition d'Ibn Hanbal, la plus rigide des quatre écoles juridiques * du sunnisme. [...]
[...] Dans le tableau suivant, nous pouvons voir que la nature de composition des rejets et de leur impact sur le milieu naturel varie énormément d'une industrie à l'autre. Tableau 3 : Nature des rejets et leur impact Types de pollution Pollution insoluble Phase polluante solide (minérale et/ou organique) : débris grossiers matières en suspension matières non colloïdales matières colloïdales Phase polluante (organique) : non dispersée dispersée (émulsion) Pollution soluble Pollution de nature minérale : acidité ou basicité oxydants ou réducteurs (chromates, cyanures, sulfures . [...]
[...] Il faudrait donc que l'Homme puise vraiment peu pour que la zone reste alimentée. L'action des Hommes impacte alors dans un premier temps sur la qualité de l'eau (comme expliqué dans le précédent paragraphe), mais fait croître les conflits entre les régions. En effet, le partage de l'eau des aquifères se fait de façon inégale, et même si les eaux sont souterraines les conflits eux sont bien visibles Exemple : les aquifères Palestiniens. L'aquifère de Gaza représente une source pour tout le territoire arabe, car il représente de la consommation en eau de la bande de Gaza. [...]
[...] Le problème majeur est que celles‐ci demandent une infrastructure qui coute cher et qui limite donc leur utilisation et notamment dans les pays pauvres. Pour terminer, la dernière source de gaspillage de l'eau est bien sur l'usage domestique. En effet, dans les pays développés nous ne faisons pas forcement attention à la préservation de l'eau et nous la gaspillons pour rien. Nous pourrions limiter notre consommation d'eau de multiples manières utilisation : de chasses d'eau à consommation réduite, utilisation de toilettes chimiques, récupérations des eaux de pluie Mais il s'agit de petits gestes que chacun doit avoir afin que cela ait un impact significatif Une meilleure mobilisation de l'eau Une autre solution pour ralentir la raréfaction croissante de l'eau serait de mieux la mobiliser. [...]
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