Transformations, société internationale, chute, mur de Berlin, Allemagne
- épuisement puis retournement de la dynamique révolutionnaire du communisme, extrêmement puissante après 1917 et 1945 (prolétariat, lutte contre le nazisme, appui aux peuples colonisés) : idéologie très large (sauf EU, Japon, RFA)
- désenchantement à l'égard du communisme s'installe progressivement : déstabilisation en 1956 (XXème congrès du PC avec le rapport Khrouchtchev qui dénonce les crimes de Staline, « petit père des peuples ») et limites de la déstalinisation interrompue par les successeurs de monsieur K (stabilisation douce avec Brejnev, dissidents en Europe occidentale)
- contestation révolutionnaire avec le maoïsme : affronté par libéraux et maoïstes.
[...] Fin de l'URSS pression pour la démocratie b. Plan politique Il n'existe aucune unité entre ces pays - entre exportateurs de pétrole riches sans être développés et PMA (existence quotidienne = survie) - entre NPI qui profitent de la croissance et ceux dont l'Etat fonctionne sur l'assistance extérieure éclatement de la notion Sud 2. Evolution des rapports Nord-Sud a. Evolution des formules d'assistance Les formules classiques d'assistance sont remises en cause : la situation éco ne permet plus de contribuer autant au développement des pays du Sud (France, à partir de 1993 : renonce à parité franc français-franc CFA d'où dévaluation franc CFA d'où dons à condition pour = aide liée, ce qui s‘oppose à aide inconditionnelle, apparition en Europe de nouveaux pauvres, les ex-démocraties populaires) marginalisation de l'Afrique b. [...]
[...] Obstacles redoutables En pratique les obstacles sont redoutables, la division de l'Allemagne convient à beaucoup, élément de la stabilité dans l'Europe d'après-guerre j'aime beaucoup l'Allemagne, je l'aime tellement que je suis contient qu'il y en ait 2 - RDA : contre la réunification - RFA : position fluctuante 1er temps : lutter contre l'existence de la RDA (sous Eisenhower doctrine Hannstein : ne connait pas la RDA mais refuse d'avoir des relations diplomatiques avec les Etats qui reconnaissent la RDA à l'exception de l'URSS) - infléchissement (milieu des années 60) sous Brandt (ancien maire de Berlin ouest) : Ostpolitik ; 1966 : rapports avec la RDA normalisés, puis série d'accords qui donnent le sentiment que la RFA consent à accepter les faits acquis --1970 : accords avec la Pologne 1971 : accord sur Berlin (rappel de la responsabilité collective et donc de l'unité de Berlin) 1972 : Traité Fondamental qui normalise les rapports RFA-RDA (rapport entre Etats) qui permet entrée aux EU 1975 : Helsinki = frontières reconnues c. Processus d'Helsinki et maintien de l'unité de la nation allemande - processus d'Helsinki favorise la réunification : acte Final proclame inviolabilité des frontières et l'interdiction de les changer par la force donc permet de les modifier par des moyens pacifiques. Unité sociale du peuple allemand maintenu : lien va s'accroitre entre les allemands 2. [...]
[...] Les transformations de la société internationale depuis la chute du mur de Berlin - destruction des rapports de force antérieures (rapport rapport - rapidement, spontanément, démocratiquement A. L'effondrement du camp socialiste Un phénomène aux origines multiples et aux conséquences rapides 1. Facteurs a. Facteurs idéologiques - épuisement puis retournement de la dynamique révolutionnaire du communisme, extrêmement puissante après 1917 et 1945 (prolétariat, lutte contre le nazisme, appui aux peuples colonisés) : idéologie très large (sauf EU, Japon, RFA) - désenchantement à l'égard du communisme s'installe progressivement : déstabilisation en 1956 (XXème congrès du PC avec le rapport Khrouchtchev qui dénonce les crimes de Staline, petit père des peuples et limites de la déstalinisation interrompue par les successeurs de monsieur K (stabilisation douce avec Brejnev, dissidents en Europe occidentale) - contestation révolutionnaire avec le maoïsme : affronté par libéraux et maoïstes b. [...]
[...] Processus allemand - obéit à un processus allemand, maitrisé par la RFA, qui obéit à son rythme, à ses conditions et selon ses procédures : comme si nouveaux Lander, réunification au sein de la LF et non pas fusion par accord international (phénomène d'absorption plutôt que de fusion) - rôle de minimal des pays occidentaux car divergences : - cout supporté par l'ensemble et non par l'Allemagne (RU ne veut pas payer les conséquences de la réunification allemande) - traité 4+2 : prend acte de la situation plutôt que ne la crée. b. Destruction de l'URSS - URSS ne peut rien faire : obtient qu'on finance rapatriement des troupes soviétiques et qu'on n'installera pas de missiles - Pologne obtient respect de la ligne Oder-Neisse - Allemagne émerge dans la société internationale sans traité de paix - dans le processus de dislocation de la Yougoslavie reconnaissance de l'indépendance de la Bosnie C. [...]
[...] Mais Gorbatchev n'a pas pour autant été renversé mise en place de la Communauté des Etats Indépendants. Russie apparait comme continuité de l'URSS B. La réunification de l'Allemagne La réunification est un processus rapide 1. Préparation a. [...]
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