Sécurité collective, maintien de la paix, collectivité internationale, États, agresseur
Sécurité collective = se présente comme un mécanisme juridique par lequel la sécurité globale de la collectivité internationale dépend de la sécurité de chacune des nations qui la compose.
Tous les États ont le droit à une égale sécurité et il incombe à la communauté des États de la garantir, → tous les États doivent, donc prêter assistance à une nation menacée et se coaliser contre l'agresseur.
[...] Les armées utilisés ne sont pas lourde, pas de mandat de combat mais de séparation De 1948 à 2008 : 63 missions de maintien de la paix militaires ont été déployés sur le terrain Plus de 60 milliards de dollars morts. Pour essayer de maintenir la paix on va lancer des opérations de développement de la culture, amélioration du niveau d'éducation. En effet, cela va permettre à chaque société d'avoir des choses à perdre lors d'un conflit ( la société sera donc moins motivée à utiliser la violence. [...]
[...] Parmi ces actions, l'assistance électorale, technique comme la formation de la police Problème pour mener les actions du maintien de la paix : ( En cas d'action pour le maintien de la paix il faut faire une levée de fond. En effet, l'ONU est payée par les Etats selon une clé de répartition qui prend en compte la taille du pays, son budget, sa croissance : mais cela n'alimente par le budget du maintien de la paix. Les Nations Unies disent que tous les Etats doivent contribuer au maintien de la paix. [...]
[...] Art 16 : énonce les sanctions obligatoires auxquelles s'expose l'Etat agresseur Problème : lacune juridique de ce texte trop ambitieux qui prétendait punir les agresseurs sans fournir de définition de l'agression. De plus les sanctions obligatoires de l'art 16 dépendaient d'un vote unanime du Conseil de la SDN. Faute d'unanimité l'art 15 laissait les Etats libres d'agir à leur guise ( contradiction entre le principe des sanctions obligatoires et la liberté de choix concédée aux membres du conseil de la SDN. [...]
[...] Ainsi, le but des relations internationales est clairement le maintien de la paix. L'art 24 conféra au Conseil de Sécurité la responsabilité principale du maintien de la paix et de la sécurité internationale Le chapitre 7 détaille les mesures à prendre en cas de menace contre la paix, de rupture de la paix et d'acte d'agression avec un souci de graduer les réponses en fonction des situations. Solution alternative en cas de problème : art 40 qui permet le Conseil à prendre les mesures provisoires qu'il juge nécessaire Sur cette base s'organisèrent les opérations de maintien de la paix = cet article forme une alternative entre les moyens coopératifs du chapitre 6 et les moyens coercitifs du chapitre 7. [...]
[...] Cependant, les textes ne précisent rien ( rien n'oblige les pays à contribuer au maintien de la paix. Il peut y avoir des contributions humaines comme une armée alors que d'autres pays vont donner de l'argent comme l'Allemagne ou le Japon ( Le consentement des Etats est nécessaire aux Nations unies pour agir. Ex : véto soviétique à la suite de l'invasion de l'Afghanistan en 1979 ( L'évolution des conflits contemporains tend à faire disparaître la distinction entre conflit interétatique et conflit infra étatique ( les nations unies ne pouvaient prendre, sauf cas exceptionnel, l'initiative d'une intervention dans le cas des conflits interétatiques. [...]
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