relations internationales, minorités, interdépendance, coopération, états
On trouve la Chartre Européenne des langues régionales et minoritaires, adoptée le 5 novembre 1992, au sein du conseil (négociation) mais aussi la convention cadre pour les minorités nationales adoptée dans le cadre du conseil le 1er février 1995. Un traité est ce qui est conclu entre états dans un contexte historique donné.
D'ailleurs plusieurs traités furent négociés : la guerre avec l'ex-Yougoslavie avec des crimes massifs envers les minorités, la fin de l'opposition de l'ouest et l'est et la chute du bloc de l'est.
[...] En France, il n'y a pas de minorités d'après le principe d'invisibilité de la république et d'égalité des citoyens, le droit constitutionnel est un obstacle majeur à la reconnaissance de minorités, il y'a un peuple français avec des citoyens dont on ne veut rien savoir. Cela est lié à la conception française des droits de l'homme : le droit est reconnu à tous les individus. Cette vision a des limites car pour la philosophie des lumières : l'homme est identifié qui est l'homme blanc. C'est une doctrine qui pose des difficultés à la France car en Grande- Bretagne : il y'a des politiques publiques ainsi que les USA : accès à l'université é par exemple. [...]
[...] Relations internationales et minorités On en compte 47 états membres. On trouve la chartre européenne des langues régionales et minoritaires adoptée le 5 novembre 1992 au sein du conseil (négociation) mais aussi la convention cadre pour les minorités nationales adoptée dans le cadre du conseil le 1er février 1995. Un traité est ce qui est conclu entre états dans un contexte historique donné. D'ailleurs plusieurs traités furent négociés : la guerre avec l'ex Yougoslavie avec des crimes massifs envers les minorités, la fin de l'opposition de l'ouest et l'est et la chute du bloc de l'est et les populations minoritaires sont mal traitées : les Roms sont en Roumanie et sont des populations nomades, dans tout l'est-elle est discriminée par l'emploie : taux de chômage à 100%, pas de scolarisation et par le logement. [...]
[...] L'approche va vers ce point de vue. L'approche qui se fonde sur l'impérialisme et l'indépendance Il faut distinguer les 2 visions, l'impérialisme : dans cette école doctrinale, les relations internationales sont comprises comme marquées par le capitalisme qui conduit à une politique impérialiste, on décrit un système économique jugé répréhensible : pour exporter on procède à une division internationale du travail qui profite à de grands monopoles et qui conduit à une domination universelle, la DIT renvoi aux choix faites par les grandes sociétés en fonction du cout du travail (critique marxiste) on insiste sur la dimension économique et on souligne aussi que les états ne sont pas au cœur de ces relations : ne sont pas les acteurs premiers de ces relations internationales (léniniste). [...]
[...] Dans ces 2 écoles, l'approche économique est dénoncée et bénéficiée mais aussi l'inégalité radicale des relations internationales. [...]
[...] Il y'a 2 éléments qui illustre cette idée d'influence d'une autonomie de l'état : de plus en plus de relations économiques technologiques culturelles sociales, une partie de plus en plus grande des relations internationales qui échappent aux états et l'état a une influence de plus en plus limité dans la matière : mondialisation et globalisation. les organisations internationales se développent se sont multipliées et ces organisations pratiquent la coopération internationale et dans ce cadre les états développent leurs relations de dépendances qui sont des intérêts communs. [...]
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