population, nationalité, appartenance, Etat, territoire
Conception large de la population : la population d'un état c'est l'ensemble des personnes physiques qui vivent sur le territoire, la population est la collectivité humaine.
On intègre dans la population : les nationaux mais aussi les étrangers qui sont domiciliés dans l'état concerné avec une nationalité autre, il y a aussi les réfugiés, les apatrides (quel que soit le comportement de ces personnes), en revanche on exclut de la population, les nationaux vivant à l'étranger même si ils continuent à participer à la vie politique de leurs états.
L'autre approche : la conception stricte, élément constitutif de l'état, la population est l'ensemble des personnes physiques qui entretiennent un lien de nationalité avec l'état.
[...] Par la perte de nationalité cela peut arriver. Les réfugiés : une personne physique qui a une nationalité et qui va demander à être accueilli sur le territoire d'un autre état parce qu'elle craint d'être persécutée en raison de sa religion de son appartenance ethnique et de ses convictions politiques ; les craintes qu'elle a ce sont des craintes à l'égard de l'état, c'est un rapport de persécutions d'où des droits de demander sur le sol d'un autre état avec des droit particuliers d'arrivée et d'exclusion. [...]
[...] Le jus solis : acquisition par l'enfant né sur le sol de l'état c'est une méthode utilisée par un état qui valorise l'immigration comme les Etats-Unis d' où une politique d'ouverture mais avec un contre-effet : nationalité de hasard (né sur le sol américain et qui n'aura plus de contact avec cet état alors il sera américain) à l'inverse ; le jus sanguinis (droit du sang acquis) ;le premier défaut : les pays qui le pratiquent sans l'adapter de manière stricte n'intégreront pas les populations immigrées car si il y'a le droit du sang à l'état pur (couple turque en Allemagne : enfants naissent et école allemande et vie allemande, ces enfants n'acquièrent pas la nationalité allemande les enfants de ces enfants n'acquièrent pas la nationalité du pays d'accueil, l'avantage du jus sanguinis : nationalité de nationaux expatriés). Le choix d'un modèle a des incidences considérables. [...]
[...] Relations internationales: les approches Conception large de la population : la population d'un état c'est l'ensemble des personnes physiques qui vivent sur le territoire, la population est la collectivité humaine. On intègre dans la population : les nationaux mais aussi les étrangers qui sont domiciliés dans l'état concerné avec une nationalité autre il y'a aussi les réfugiés, les apatrides quel que soit le comportement de ces personnes en revanche on exclut de la population, les nationaux vivant à l'étranger même si ils continuent à participer la vie politique de leurs états, dans cette conception, le critère : où l'on vit. [...]
[...] Le réfugié peut être apatride par les persécutions de son état. (Les 2 ne sont pas étanches). Le statut de réfugié est reconnu dans des conditions restrictives et on ne retrouve pas les craintes d'être victime de la crise économique de son pays. Dans la presse on parle de réfugié économique mais cela n'existe pas. Il y'a le réfugié environnemental : causes naturelles (atomes submergées par les eaux causées par le réchauffement climatique). [...]
[...] Constatant cette réalité, l'Allemagne continue à appliquer le jus sanguinis mais ceci est accompagné d'une ouverture sur le jus soli : étrangers durables en Allemagne peuvent acquérir la nationalité. Sur ces questions d'acquisition il y' un choix idéologique, la motivation qui a rendu l'évolution : Allemagne vieillissante d'où des populations étrangères avec un comportement démographique différent. Sur la base du lien de nationalité l'état exerce la compétence personnelle : pouvoir réglementer les activités des nationaux quel que soit l'endroit où ils se trouvent. [...]
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