S'agit-il des relations entre les nationalités, entre les nations ? Ou encore de la prise en compte des revendications nationalistes en ce qu'elles ont un impact sur les relations internationales au sein de l'Europe, comme avec la Tchécoslovaquie, l'ex-Yougoslavie. L'expression est généralement égale à des relations interétatiques, il s'agit donc d'étudier les relations entre les nations (dans les cas où Etat et nation se confondent).
L'histoire de la construction européenne est en partie fondée sur l'action des Etats, mais de plus en plus elle transcende le cadre des relations entre Etats, ce que montre l'importance de plus en plus grande de la réglementation communautaire. Certains pays sont lancés dans un processus d'intégration quasi-fédérale (monnaie commune, ébauche d'une armée européenne, citoyenneté européenne?).
[...] Ainsi, trois séries d'acteurs interviennent : - le pays dont la monnaie ne respecte pas la fluctuation maximale, cette intervention se fait à travers la banque centrale du pays concerné ; - les autres banques centrales du système, c'est la solidarité entre les pays ; - le fonds de coopération monétaire européen (FECOM), qui va devenir l'Institut monétaire européen, puis la Banque centrale européenne à partir de 1999. Au départ, l'Ecu ne concerne que les banques centrales nationales, il s'agit d'une monnaie de réserve et de paiement. [...]
[...] Le Gouvernement soviétique craint que les idées gagnent et qu'elles se propagent au reste de l'union. la culture idéologique du nouveau pouvoir communiste à Prague se manifeste quand le Gouvernement communiste présente son programme de réforme en affirmant qu'il refuse tout modèle contraignant et qu'il cherche à construire une socialisme à visage humain Une telle volonté a le défaut pour l'URSS de signifier que le socialisme jusqu'alors mis en œuvre avait un visage inhumain. Dès le début mai, l'URSS exerce des pressions sur Dubcek, les soviétiques pensent qu'ils est influencé par la société civile et qu'il a perdu le contrôle des choses. [...]
[...] Mais la Turquie va consolider ses positions, et le nord de l'île est transformé en Etat turc. Cet Etat n'est pas reconnu par la communauté internationale. Les répercussions internationales de la chute des dictatures en Grèce, au Portugal, et en Espagne - Les relations extérieures de la Grèce. La Grèce a adhéré à l'OTAN en 1952. En 1961, elle obtient, de même que la Turquie, un statut d'association au marché commun. Suite au coup d'Etat de 1967, les Etats-Unis maintiennent leurs alliances militaires avec les dirigeants grecs, mais les membres de la CEE suspendent l'accord d'association. [...]
[...] Dans la zone soviétique , on assiste à une soviétisation de la vie politique. Cela se manifeste par la formation d'un front patriotique autour du parti communiste, il va constituer un Gouvernement dit de front patriotique, dont le parti communiste va vite prendre la direction. A cela s'ajoute la fusion imposée avec le parti communiste du parti social démocrate ; un parti socialiste unifié (LED) et dominant est ainsi formé, et beaucoup de ceux qui refusent cette union et qui n'ont pas fuit vers l'Ouest vont être déportés. [...]
[...] A l'opposé, les gaullistes et les communistes s'y opposent. Au plan international, la Grande-Bretagne n'est pas intéressée, mais l'Allemagne et l'Italie se montrent favorables à un tel projet parce que l'intégration européenne devrait leur permettre de retrouver un statut international égal aux autres Etats. Au final, ce sont six pays qui rejoignent le projet : France, Allemagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, et Belgique. Ces six Etats signent le Traité de Paris du 18 avril 1951 pour une période initiale de cinquante ans. [...]
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