Critères de la guerre juste, juste titre, juste cause, intention droite, droit de faire la guerre
Ici intervention des états (France, Mali, Centrafrique). La France est le seul pays non africain qui s'est pleinement investi, avec un soutien logistique des États-Unis. Il y a eu un envoi en Mali de quelques troupes allemandes en soutien. A été prise une décision en février d'envoyer quelques troupes européennes pour soulager l'armée française.
Au Mali : force internationale africaine (MISMA) et en Centrafrique (MISCA) en soutien et respectivement armée locale. L'intervention française a été sollicitée. À partir du moment où les autorités locales ont fait une demande à la France, non légitime puisque gouvernement issu d'un coup d'État.
[...] L'envoi sur le territoire d'un autre état l'envoi de bande ou troupe armée : agression Mais soutenir groupe armée existant (rebelle) pas agression. Libération nationale = légitime. Le lendemain du 11 septembre, le conseil de sécurité à adopter une résolution par lequel il reconnaissait aux USA le droit de légitime défense, cette résolution autorisait les USA à riposter seul ou avec les alliés dans le but de traduire en justice les acteurs/commanditaires de l'attentat. Problème d'imputation de responsabilité car attentat non commandité par un état, Afghanistan n'a pas attaqué directement les USA et question de la proportionnalité de l'action des USA. [...]
[...] Autre hypothèse : pression de l'armée de terre pour intervenir car rôle secondaire dans autre conflit (Afghanistan, Libye). Donc intention droite oui et non. Au Mali, l'intervention française a globalement été un succès : Militairement, nord du Mali reconquis mais quelques groupe djihadiste y trainent encore. Donc la France envisage un retrait partiel des troupes. Accord de Ouagadougou entre le régime en place et les Touaregs. Les Touaregs ont accepté le retour des troupes Malienne dans le nord et vote régulier contre négociation pour autonomie des Touaregs. [...]
[...] Article 51 chapitre 7 : Aucune disposition de la présente charte ne porte atteinte au droit naturel de légitime défense individuel ou collective (collective : si accord de défense mutuel entre état) dans le cas où un membre des nations unis fait l'objet d'une agression armée et jusqu'à ce que le conseil de sécurité ait pris des mesures nécessaires. Droit naturel : la charte ne créée pas ce droit, elle ne fait que le reconnaître. Ne s'applique qu'en cas d'agression armée. Il faut que la légitime défense soit proportionnée à l'attaque suivie et nécessaire pour mettre fin à l'agression. [...]
[...] Les critères de la guerre juste 1. Le juste titre : L'intervention doit être menée par intérêt légitime, par une puissance publique. Ici intervention des états (France, Mali, Centrafrique). La France est le seul pays non africain qui s'est pleinement investi, avec un soutien logistique des États-Unis. Il y a eu un envoi en Mali de quelques troupes allemandes en soutien. A été prise une décision en février d'envoyer quelques troupes européennes pour soulager l'armée française. Au Mali : force internationale africaine (MISMA) et en Centrafrique (MISCA) en soutien et respectivement armée locale. [...]
[...] (Pas vraiment respecté). Aujourd'hui, la charte de l'ONU (organisation des nations-unies) : article 2 paragraphe 4 : Les membres de l'ONU s'abstiennent dans leurs relations internationales de recourir à la menace ou à l'emploi de la force soit contre l'intégrité territoriale ou l'indépendance politique d'un autre état. Soit de toute autre manière incompatible avec les buts de nations unis. Ceux qui ne respecteraient pas cette règle pourraient être exposés à certaines conséquences : > Mesure de coercition décidée par le conseil de sécurité de l'ONU (article 7). [...]
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