Birmanie, Aung San Suu Kyi, résistance birmane, population birmane, junte militaire
The Lady, film biographique réalisé par Luc Besson retrace la vie d'Aung San Suu Kyi surnommée « The Lady » femme politique et résistante birmane de 1988 année de son retour en Birmanie et du début de son engagement politique. Le film de Luc Besson met en scène le difficile combat politique non-violent de cette femme qui se bat pour la liberté et la démocratie en Birmanie.
La population birmane comporte 135 ethnies, les Birmans sont majoritaires, et les minorités avec les Chans, Karens, Kachin… En 1948, la Birmanie déclare son indépendance grâce aux négociations avec les Britanniques. Le général Aung San héros de l'indépendance est assassiné. Depuis 1962 par un coup d'Etat du général Ne Win, la junte militaire est au pouvoir, le parlement est dissous, le président et le premier ministre sont emprisonnés. Dictature militaire à parti unique le PPSB (Partis du Programme Socialiste Birman). Les dirigeants militaires violents et incapables d'unifier le pays sont profondément rejetés par une grande partie de la population. Dès lors, il y a une diminution des libertés et interdiction de la liberté de la presse, abolition de la Constitution de 1948 instaurée par Aung Sun qui donnait des droits aux minorités ethniques. Depuis 2010, le pays connait une ouverture démocratique.
[...] La Birmanie qui compte 60 millions d'habitants est un pays sous développée où tout est à reconstruire, infrastructures, réseaux de télécommunication, secteur bancaire En parallèle, la Birmanie dispose de ressources naturelles abondantes : bois, minerais, gaz naturel, fort potentiel touristique et agricole et un réseau danse de fleuves et de rivières. En plus de cela des mesures ont été prises afin de favoriser les investissements étrangers tels que l'exonération fiscale de 5ans cependant du budget est alloué à la défense contre seulement pour la santé et pour l'éducation. La Birmanie va-t-elle vraiment s'ouvrir démocratiquement ou est-ce seulement provisoire ? [...]
[...] Le nouveau gouvernement manifeste plusieurs signes d'ouverture et de souplesse dans la pratique du pouvoir. La LND deviens légale en décembre 2011, des avancés sont faites aussi au niveau de la libération de prisonniers politiques, autorisation des syndicats. Le 1 avril 2012, les élections législatives sont remportés par la LND Aung San Suu Kyi est élue députés et son parti remporte 40/45 sièges. Cependant, pour rentrer dans le gouvernement elle doit prêter serment, s'engager à « protéger la constitution », alors qu'ils n'ont eu de cesse de dénoncer. [...]
[...] Ils sont durement réprimés, envoyés en prison interrogés et torturés. Parmi eux, Aung San Suu Kyi fille d'Aung San au sacrifice de sa vie privée crée la Ligue Nationale pour la Démocratie (LND) et devient le symbole de l'opposition. A partir de là elle est plusieurs fois assignée à résidence. En 1990, des élections législatives générales libres remportés par la LND avec 82% des voies mais l'armée annule le vote. En 1991 elle reçoit le prix Nobel de la paix pour sa lutte non violente. [...]
[...] Dictature militaire à partis unique le PPSB (Partis du Programme Socialiste Birman) Les dirigeants militaires violents et incapables d'unifier le pays sont profondément rejetés par une grande partie de la population. Dès lors il y a une diminution des libertés et interdiction de la liberté de la presse, abolition de la constitution de 1948 instauré par Aung Sun qui donnait le droit aux minorités ethniques. Depuis 2010, le pays connait une ouverture démocratique. Arrivée de Aung San Suu Kyi En 1988, les étudiants Birmans réclament la démission de Ne Win et un retour à la démocratie, lutte pour des meilleures conditions de vie. [...]
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