Biens publics mondiaux, coopération internationale, gouvernance globale, passage à l’international, bien public
La question de la coopération mondiale se pose sur la légitimité globale, mais aussi sur les composés politique et culturel de la mondialisation.
Jusqu'à la Première Guerre mondiale, les acteurs qui coopèrent sont principalement les États. L'objectif de cette coopération, c'est d'assurer la coexistence. Il s'agit essentiellement d'organiser la coexistence d'États souverains. Se développe la notion d'obligation, d'égalité, etc. Non-intervention, non-violation des traités. Dans un premier temps, l'idée de la coopération internationale c'est simplement de respecter la souveraineté de chacun et les compétences de chacun. Il faut assurer la coexistence.
[...] Le G8 est un club exclusif du meme que le G20. G20 = membre du G8 + Brésil + argentine + Mexique + Arabie saoudite + Egypte + Af sud + turquie + inde + Russie + Corée du sud + Chine. Il y a eu diplomatie du peuple dans le G8 et dans le G20. Ce qui limite les innovations ce sont des instances décisionnelles qui n'ont pas vocations à bouleverser les équilibres. Leurs objectifs est surtout de gérer l'ordre mondial et de le gérer de manière à ce qu'il soit peu favorable aux instances du siège représentatif. [...]
[...] Toutes ces agences sont très mollement coordonnées. On a des chevauchements et des contradictions entre les différents programmes, bureaux, agences. En découle des inefficacités. Les objectifs du millénaire : la banque mondiale s'est ralliée à ces objectifs. On a pour une fois un début de discours commun. Dans le manque d'efficacité, il y a un deuxième point : actuellement depuis les années 70-80, on s'aperçoit que tout un ensemble de questions ne peut pas être résolu simplement par des accords entre Etats. [...]
[...] Paix = bien public mondial, définir la paix est difficile. Théorie importante historiquement et quantativement, la théorie réaliste : Hans Morgenthau dans son ouvrage il définit les principes du réalisme Raymon Aron : las acteurs principaux sont les états, ils conduisent leur politique extérieur et cette intérêt national principalement définit en terme de puissance, mais plusieurs dilemme dont celui de sécurité ce qui provoque de la crainte et de la peur qui essayent d'augmenter leur puissance et à leur tour effraie. [...]
[...] Manque d'inclusion des acteurs sociaux. Un manque d'efficacité On peut le décliner en 2 façons. L'ONU est spécialiste. La création des nations-unis est créée pour répondre aux différentes demandes. Elle va créer des nouveaux programmes, des nouvelles agences, de nouveaux bureaux, de nouveaux fonds. Vont être mis en place les éléments de coordinations qui vont permettre à tous ces bureaux, programmes et fonds d'être efficace. Les nations-unis sont toute une nébuleuse de programmes et de fonds spécialisés. C'est aussi l'organisation pour la nourriture, pour la santé, le PNUD, l'UNICEF, l'UNESCO, l'AIEA. [...]
[...] Apparait alors la notion de bien public mondial. II) De la notion de bien publics à celle de bien public mondial Au début des années 90, l'impératif de la refondation de la coopération internationale se traduit par l'émergence de nouvelles notions, de nouveaux concepts, parmi lesquelles celui de bien public mondial. Aussi la notion de sécurité humaine. La fin de la guerre froide n'est pas une cause de cette naissance. Certains acteurs ont pris conscience que la grille de lecture qu'ils avaient pendant la guerre froide était trop simpliste. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture