Analyse et identification des acteurs, objectifs, moyens.
[...] • SATO Makoto, Le Mozambique comme enjeu de politique extérieure ou le nouveau rôle du Japon ee comme enjeu de politique extérieure ou le nouveau rôle du Japon en Afrique, p. 75-82 SYNGE Richard, « Mozambique: UN Peacekeeping in Action, 1992-94 » ; SAMKANGE art. cit., Le trimestre du monde 1er trimestre, pp – 176. Lijn, Jaïr van der, Walking the tightrope : do UN peacekeeping operations actually contribute to durable peace? [...]
[...] Après la tenue des élections présidentielles et législatives en octobre 1994 et l'entrée en fonctions du nouveau Parlement du Mozambique et du Président du Mozambique au début du mois de décembre, le mandat de l'ONUMOZ a officiellement pris fin le 9 décembre 1994 à minuit. Le parti du gouvernement, le FRELIMO, a remporté ces élections. Le nouveau parlement et le président ont pris leur fonction le 8 et 9 décembre 1994, respectivement. La mission de l'ONUMOZ, qui avait continué à exercer des fonctions résiduelles, a pris fin avec succès à la fin du mois de janvier 1995. [...]
[...] – Le HCR a mis en place un programme d'assistance humanitaire pour rapatrier les 1,3 million de réfugiés au Mozambique. – De nombreux pays ont contribué à cette opération, permettant de mettre en place une véritable politique extérieure à savoir : le Japon[6], le Brésil, l'Argentine, la Chine, l'Irlande, la Guyane, les États-Unis d'Amérique, l'Australie, le Canada, la Guinée-Bissau, l'Autriche, l'Égypte, le Botswana, le Bangladesh, la Bolivie, la Jordanie, les Pays-Bas, la République de Cabo Verde, le Togo, la Norvège, l'Espagne, la Nouvelle-Zélande, la Zambie, la Fédération de Russie, la Finlande, le Ghana, la Hongrie, l'Inde, l'Indonésie, l'Italie, la Malaisie, le Népal, la Suède, le Nigéria, le Pakistan, le Portugal, la République tchèque, le Sri Lanka, la Suisse, et l'Uruguay. [...]
[...] Toutefois, la guerre d'indépendance ayant duré plus de dix années et ayant fait morts, le Mozambique s'est retrouvé dans une situation d'appauvrissement. Le Mozambique a ensuite été le terrain d'une guerre civile qui l'a ravagé de 1977 à 1992,.entre.le.Gouvernement.et.la.Résistance.nationale.mozambicaine.(la RENAMO), soutenue. par.le.régime.de .l'apartheid.en.Afrique du Sud. Le.Mozambique.a.réussi, après.deux.ans.de.réflexions et de négociations, à.mettre un terme à cette guerre civile par la signature d'un Accord.général.de .paix à Rome en date du 4 octobre 1992, entre le président du Mozambique et le président du RENAMO. [...]
[...] La campagne de sabotage systématique menée par la RENAMO, financée et soutenue en premier lieu par la Rhodésie puis par l'Afrique du Sud, a déchiré le pays dans une guerre civile pendant plus de seize ans. Poursuivant sa stratégie de déstabilisation, la RENAMO a eu recours à des enfants-soldats et a commis de nombreuses exactions et crimes de guerres contre les populations rurales. Pour exemple, on citera le massacre intervenu le 18 juillet 1987 sur 424 civils à Homoine, des femmes, des enfants et des patients hospitalisés. Face à cette situation de crise, les populations rurales ont été regroupées dans des villages fortifiés grâce à l'aide de l'armée gouvernementale. [...]
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