Wikileaks, transparence, démocratie, Julian Assange, département des Affaires étrangères de la Maison-Blanche
Wikileaks est un site internet, mis en place en 2007 par des dissidents de plusieurs pays, tels que la Chine et l'Afrique du Sud. Ces dissidents sont motivés par la recherche de transparence en ce qui concerne les pays encore sous le joug d'une dictature ou d'un régime démocratique comportant des fautes graves. Ce groupement est représenté depuis le début par Julian Assange, qui l'a créé. En 2010, ce même site a mis au grand jour plus de 250 000 télégrammes diplomatiques provenant des États-Unis et des ambassades étrangères, puisqu'ils provenaient du département des Affaires étrangères de la Maison-Blanche.
[...] Dans l'article trois, bien que les documents donnés par Wikileaks soient d'une importance capitale d'un point de vue historique, et bien qu'ils aient été vérifiés par l'équipe de Wikileaks puis par celles des journaux partenaires, leur provenance et leur pertinence n'est pas absolument clair. Or, un document de cette importance qui comporte des doutes quant à sa pertinence, n'est pas un document exploitable par aucune des parties. Dans l'article cinq, les fuites de Wikileaks sont une preuve que leur but premier est de montrer les actions gouvernementales à chaque citoyen, en direct si possible. [...]
[...] En conclusion, ces méga fuites auront de bénéfique de redonner une nouvelle vague dans le débat sur la transparence dont les pays occidentaux ont bien besoin, ne serait-ce que parce que le peuple le souhaite, les gouvernements se doivent d'en parler. Malgré cela, elles ont causé beaucoup de déceptions et vont être à la base d'un moment de flottement quelque peu risqué en ces temps de crise, en ce qui concerne les principaux acteurs et les journalistes ; de plus si Wikileaks veut continuer à être crédible il devrait continuer sur sa volonté de départ qui était de donner une voix aux peuples des pays sous le joug de dictatures en les mettant à nu et non pas de se focaliser sur les potins des diplomates de pays qui s'efforcent à rester démocratiques. [...]
[...] Dans l'article trois, on peut voir que ces fuites considérables ont permis d'ouvrir les yeux sur les moyens d'informations actuels. Par exemple, les documents ouverts au public, sans aucune censure, font preuve d'une « pureté » politique qui va devenir une base privilégiée pour le travail des historiens politiques. De plus, on apprend que les télégrammes sont le moyen le plus utilisé par les ambassades pour partager leurs informations, Wikileaks nous donnant une autre vision du travail de diplomate de nos jours. [...]
[...] Tout d'abord, on peut affirmer que les fuites de Wikileaks ont vraiment été un moyen de redonner à la démocratie un souffle nouveau. Dans l'article un, on observe grâce ces fuites l'hypocrisie des gouvernements monarchiques du golfe arabique qui fait le contraire de qu'ils affirment à leur population. Cet article approuve les fuites de Wikileaks si celles-ci peuvent redonner un peu de souplesse à la paranoïa flottante qui règne dans les relations internationales. Dans l'article deux, on observe que les télégrammes ont pu montrer, en petites parties, comment le gouvernement d'Obama agissait quant à la diplomatie extérieure. [...]
[...] Note de synthèse : Wikileaks, un progrès pour la démocratie ? Wikileaks est un site internet, mis en place en 2007 par des dissidents de plusieurs pays, tels que la Chine, l'Afrique du Sud. Ces dissidents sont motivés par la recherche de transparence en ce qui concerne les pays encore sous le joug d'une dictature ou d'un régime démocratique comportant des fautes graves. Ce groupement est représenté depuis le début par Julian Assange, qui l'a créé. En 2010, ce même site a mis au grand jour plus de télégrammes diplomatiques provenant des Etats-Unis et des ambassades étrangères, puisqu'ils provenaient du département des Affaires Etrangères de la Maison-Blanche. [...]
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