La théorie réaliste reste la plus importante : elle centre sa théorie sur l'Etat et l'acteur étatique comme acteur principal. Après la Seconde Guerre mondiale, certains penseurs idéalistes voient la paix internationale entre tous les états comme possible. Les idéalistes sont donc les premiers penseurs des relations internationales.
Les réalistes critiquent la posture naïve des idéalistes : l'homme est loin d'être un doux rêveur, la guerre ne peut pas être éradiquée. L'homme a une nature profondément égoïste et agressive. Tous les états ne recherchent pas la paix au premier chef. Certains états sont motivés par la compétition, les conflits, l'augmentation de leur puissance sur la scène internationale. Le système international ne peut pas être transformé dans le sens que souhaitent les idéalistes.
[...] Les phénomènes transnationaux n'affectent pas la structure globale. Il se démarque de l'idée des balances de Morgenthau. Il se distingue de l'égoïsme des états calqués sur le comportement humain. Les états vont avant tout rechercher la sécurité. A la base du système international, il y a l'idée d'anarchie, mais l'anarchie n'est pas obligatoirement violente ; elle ne débouche pas obligatoirement sur la guerre. Le système international peut réguler l'anarchie. Quel est le système le mieux à même de réguler l'anarchie ? [...]
[...] Daviaud, ceci ne se vérifie pas, la théorie réaliste étant incapable d'expliquer pleinement le 11 septembre 2001. [...]
[...] Les idéalistes sont donc les premiers penseurs des relations internationales. Les réalistes critiquent la posture naïve des idéalistes : l'homme est loin d'être un doux rêveur, la guerre ne peut pas être éradiquée. L'homme a une nature profondément égoïste et agressive. Tous les états ne recherchent pas la paix au premier chef. Certains états sont motivés par la compétition, les conflits, l'augmentation de leur puissance sur la scène internationale. Le système international ne peut pas être transformé dans le sens que souhaitent les réalistes. [...]
[...] Intérêt et puissance guident le comportement des états La centralité de l'Etat Puisque l'Homme est un loup pour l'Homme, on va avoir une intervention de l'Etat qui est fondamentale pour éviter l'anarchie. La souveraineté nationale est l'unique moyen d'éviter les débordements de violence. L'Etat va se faire l'arbitre des intérêts particuliers. Il est l'arbitre suprême pour les intérêts particuliers. Dans cette conception du rôle de l'Etat, les réalistes utilisent la guerre pour deux choses. Il faut tenter de soumettre la sphère militaire à la sphère politique. Il faut canaliser la guerre par l'Etat. L'Etat est supposé raisonnable. [...]
[...] On a donc supposé que la diplomatie devait être régie par des principes éthiques. Morgenthau s'était opposé à cette intervention sous prétexte que les Etats-Unis n'avaient aucun réel intérêt dans ce conflit. Nouveaux développements académiques/notion d'acteur en relations internationales : une série de nouveaux développements va réfléchir à la notion d'acteur en RI : on ne peut pas considérer uniquement l'Etat, mais on doit étudier d'autres acteurs. Cette théorie s'affirme dans les années 70. Des phénomènes internationaux jugés nouveaux : c'est notamment le cas des entreprises internationales, des firmes, des ONG. [...]
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