Discours, De Villepin, relations internationales, Irak, ONU, Conseil de sécurité, communauté internationale, désarmement
« Il y a une alternative à la guerre : désarmer l'Irak par les inspections. » traduit bien ce que veut dire De Villepin.
Il s'agit d'un discours de Dominique de Villepin, ministre des affaires étrangères de 2002 à 2004, prononcé en février 2003. Un discours qui lui vaut d'être applaudi, chose rare en cette enceinte.
Ce discours a été prononcé à l'ONU, les récepteurs les plus immédiats sont les membres du Conseil de sécurité c'est-à-dire les 5 membres permanents (France, Etats unis, Grande Bretagne, Russie et Chine), les 10 non permanents, à ceux-ci s'ajoutent, les opinions publiques du monde entier. En effet, ce discours a été retransmis dans tous les pays par le biais des médias.
L'auteur du discours est Dominique de Villepin, sa posture institutionnelle est qu'il est ministre des affaires étrangères de France au moment des faits.
Ce qui est important c'est son opposition à la guerre d'Irak voulu par le président des Etats unis d'Amérique George W Bush.
A travers ce vibrant plaidoyer, Dominique de Villepin fait entendre la position de la France, opposée à la guerre. Il veut donner aux inspections toutes les chances de réussir avant d'avoir recours à la force. Son but est d'attendre encore un mois le résultat des inspections supplémentaires pour préserver la paix le plus longtemps possible.
[...] Il veut donner aux inspections toutes les chances de réussir avant d'avoir recours à la force. Son but est d'attendre encore un mois le résultat des inspections supplémentaires pour préserver la paix le plus longtemps possible. Il partage avec son auditoire la priorité de combattre le terrorisme surtout depuis la tragédie du 11 septembre 2001. Le contexte c'était en 2003 lors de la crise irakienne, pays qui sera en guerre 1 mois plus tard. Il serait dès lors pertinent de se demander quels sont les enjeux majeurs du discours de De Villepin pour le désarmement de l'Irak et comment ce dernier, incarne-t-il la position de la France et de l'ONU à ce propos. [...]
[...] Relations internationales : Exposé sur le discours de De Villepin. Il y a une alternative à la guerre : désarmer l'Irak par les inspections. traduit bien ce que veut dire De Villepin. Il s'agit d'un discours de Dominique de Villepin, ministre des affaires étrangères de 2002 à 2004, prononcé en février 2003. Un discours qui lui vaut d'être applaudi, chose rare en cette enceinte. Ce discours a été prononcé à l'ONU, les récepteurs les plus immédiats sont les membres du Conseil de sécurité c'est-à-dire les 5 membres permanents (France, Etats unis, Grande Bretagne, Russie et Chine), les 10 non permanents, à ceux-ci s'ajoutent, les opinions publiques du monde entier. [...]
[...] Un pays, à feu à sang, des infrastructures détruites et la population meurtrie n'est pas une base solide à la démocratie. La France n'exclue pas le recours à la force mais l'envisage en dernier recours, on doit tout tenter avant de choisir l'option de la guerre. La France, d'après ses informations, conteste la véracité du lien invoqué par le secrétaire d'Etat américain. La guerre ne sera pas forcément le moyen le plus rapide, il y aura une période d'après-guerre longue et douloureuse, ce qui s'est tristement vérifié, l'option de la guerre . [...]
[...] Son argumentation repose sur une mise en évidence de la causalité. Il énonce les conséquences catastrophiques de la guerre tout en soulignant le caractère ouvert de la position de la France. Il procède par antithèses, il avance les arguments que ses adversaires vont vraisemblablement présenter pour mieux les éliminer j'entends bien les critiques».l.65. Et il décompose chaque fois ses idées en deux : il y a ceux qui pensent l il y a ceux qui croient »l.70, il y a deux option »L73. [...]
[...] Il montre qu'un désarmement pacifique est possible et moins couteux sur les points évoqués qu'une intervention militaire. Il s'appuie sur la résolution de l'ONU et une certaine légitimité à juger dans le domaine. Il essaye de suivre et de former une unité internationale autour de la question. Il évoque à de nombreuse reprise le bon déroulement des inspections qui se poursuivent et qui font l'objet d'un rapport contestant la version américaine. Il dresse la critique d'une diplomatie américaine impatiente et bornée et d'une politique dangereuse pour l'équilibre régional et aux couts faramineux. [...]
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