Relations internationales, Obama, 11 septembre 2001, monde communiste, monde bipolaire, paradigme civilisationnel
Modele opposition entre le monde « libre » et le monde communiste a structuré les relations internationales pendant longtemps, depuis fin seconde guerre. Monde bipolaire.
Avec la fin de cette opposition majeure, certains penseurs ont cherché a determiner le snouvelles grandes oppositions qui pourraient désormais surgir.
Ces grandes oppositions ne seraient plus économiques, plus politiques...nouveaux modèles d'explication.
Dans ce contexte historique, « la fin de l'Histoire » (fukuyama, auteru americain), a été publié un article, devenu livre: Samuel Eltington (universitaire américain) « le choc des civilisations ».
Dans ce livre (1996), (article en 1993 dans foreign affairs), il cherche à présenter « une interprétation de l'éevolution de la politique globale apres la guerre froide ». Il degage un paradigme provisoire, un modele explicatif qui repose sur la variete des civilisations. Bien sûr, il le présente comme simplificateur. En tout cas, on l'a appellé le paradigme civilisationnel.
[...] Démarche plus modeste basée sur 3points: -Travailler la matière juridique (pas du droit internetional mais comme outil de connaissance de la société internationale). Corpus de droit DROIT INTERNAT PUBLIC qui s'attache à tenter de reglementer, oraganiser partiellement ces relations internationales. On ne era pas du droit internat mais on apprendra de manière plus distancée ce droit. On interroge les valeurs portées par ce droit (parfois contradictoires) -Reflechir a la manière dont ce droit légitime certains acteurs ou condamne d'autres sur la scene internationale. Comment la norme internationale structure le discours des acteurs. [...]
[...] Cette tentative est un peu ridicule et il les disqualifie. Termes dépréciatifs (illusions, exegèses, esprits géométriques . Il décrit lui l'imperfection essentielle du droit international et affirme que le droit international « reglementation d'une certaine sorte de relation sociale (le droit international) ne suffit pas à créer l'ordre quand la société elle-même est anarchique » . c'est un droit tout a fait imparfait dans le sens ou il ne parvient pas a etablir u n ordre social satisfaisant. Posture de Aaron un peu paradoxale pour un philo ou sociologue: a priori, ce sont quand meme les juristes ou politiques qui doivent s'occuper de l'efficacité des normes qu'ils produisent. [...]
[...] C'est en raison de son imperfection essentielle qui reflète les traits de la société internationale que ce droit nous interesse, puisqu'elle nous informe sur la manière dont la norme est employée dans la société internationales et nous renseignera sur cette dernière. -Crises du monde contemporain. Les relations internationales ne sont pas necessairement chromatiques. C'est d'ailleurs une des critique faites aux approches globalisantes et predictives: elles insistent sur les conflits. Or le quotidien diplomatique est plutôt fluide, pacifique. 1ere partie sur les normes 2eme partie sur les acteurs(ONG . ) Les relations internationales, ne concernent pas que les conflits, même si ils apparaissent comme moment pathologiques des relations internationales. [...]
[...] Il ne met pas l'accent sur la dimension religieuse, mais bien culturelle On ne peut pas non plus nier que certains conflits ont un rapport immédiat avec la religion.(todorov et korn la nient). On peut conclure qu'il met l'accent sur certains traits des relations internationales que l'on ne peut ignorer. Même si elle n'explique pas tout. Les auteurs le critiquant on raison de dire qu'il est simpliste de présenter ces ensembles comme figés et monolitique. Ces civilisations ne sont pas homogène et sont traversées par des évolutions. Elles peuvent être multiples. [...]
[...] Guantanamo n'est pas encore fermé, masi il y eu une très forte rupture symbolique qui tiens a l'evolution du discours et du projet mais aussi de sa personnalité. Il a abandonné « l'axe du mal » et la stigmatisation du monde musulman. Prix nobel de la paix en 2009 (discours également).Briser le cycle de la mefiance, de la peur et de la discorde entre usa et monde musulman en proposant un nouveau départ. « Aucun discours ne peut eradiquer des années de méfiance » OBAMA, mais quand même. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture