géopolitique, soft power, cyberespace, risque climatique, changement climatique, hégémonie occidentale, soft power commercial, Guerre froide, bloc soviétique, plan d'action, Agenda 21
Le rejet de la suprématie américaine en vigueur depuis près d'un siècle voire cinq siècles en cumulant le Royaume-Uni semble avoir atteint son paroxysme. L'exemple le plus frappant est le refus de 80% des nations de la planète de soutenir les sanctions occidentales contre la Russie et les velléités d'isolement de cette dernière. Mieux encore, certains acteurs non occidentaux traditionnellement loyaux envers l'hégémonie occidentale opèrent un revirement stratégique. La fin précipitée de l'hégémonie occidentale a deux facteurs : le paroxysme de l'arrogance occidentale dans l'exercice des relations diplomatiques (sanctions internationales, ingérence...), le « soft power chinois ». C'est ce dernier que nous allons analyser.
[...] Aux États-Unis, le système public de distribution d'eau potableest potentiellement friable aux cyberattaques. Le risque de voir ces dernières empoisonner le contenu est réel et de la faculté de nuisance à la santé des habitants d'autant plus renforcée. Les hackers observant le système d'eau publique des États-Unis, sont soupçonnés de collaborer avec la Chine. Dans cet exemple, il est difficile d'établir un plan de prévention contre de telles attaques puisqu'elles émanent des manquements de l'Etat fédéral. Enseignements Les cyberattaques sont les principaux instruments d'initiation au conflit et les citoyens lambda sont parmi les premières victimes. [...]
[...] Le marché obligataire chinois est le plus rentable au monde notamment via le «10 ans chinois». De telles ambitions non dissimulées permettent de déduire que la Chine veut à travers son titre d'emprunt d'État mettre un terme à la domination internationale du bond du trésor américain. En réalité, il s'agit dune guerre monétaire et non d'une quelconque rivalité axée autour des marchés obligataires ou plus largement financiers. CYBERESPACE ET GÉOPOLITIQUE (SUJET N°2) Le cyberespace est l'un des facteurs de la géopolitique actuelle. [...]
[...] Cette prise de conscience n'a été possible qu'après constatation des dégâts climatiques, alimentaires, énergétiques voir humains causés par l'homme (les opinions publiques mondiales toujours traumatisées par le Tchernobyl). C'est face à ce contexte pesant et d'urgence, qu'apparaît le terme « anthropocène ». Il s'agit d'une nouvelle ère géologique marquée par la faculté des activités humaines à nuire à l'intégralité de l'écosystème environnemental (terrestre). Ainsi, traiter la perception du risque climatique revient à exposer en quoi ou comment peut-il exister une forte corrélation entre la prise de conscience par l'opinion publique internationale du réel danger que représente le changement climatique et l'avènement de l'anthropocène. [...]
[...] N'existerait-il donc pas un lien de cause à effet ? La fin de la guerre froide et l'effondrement du bloc soviétique (1989), diffusion quasi totale de l'économie de marché (exception Corée du Nord, Cuba) système économique phare de la mondialisation, d'obédience anglo-saxonne. Les organisations non gouvernementales ou fondations privées (dont la position devint alors prédominante dans les relations internationales) ont pu diffuser leur agenda environnemental (et notamment la problématique du climat) mais aussi à l'échelle planétaire (Greenpeace, WWF . Le début des années 2000 marque le commencement de la 3[ème] révolution industrielle dont la vocation était en partie la prise en compte des problématiques environnementales. [...]
[...] Géopolitique - Enjeux de puissance et d'influence à l'échelle mondiale SOFT POWER CHINOIS (SUJET N°1) Le rejet de la suprématie américaine en vigueur depuis près d'un siècle voire cinq siècles en cumulant le Royaume-Uni semble avoir atteint son paroxysme. L'exemple le plus frappant est le refus de 80% des nations de la planète de soutenir les sanctions occidentales contre la Russie et les velléités d'isolement de cette dernière. Mieux encore, certains acteurs non occidentaux traditionnellement loyaux envers l'hégémonie occidentale opère un revirement stratégie (par exemple les monarchies du golfe . [...]
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