Discours, président George Walker Bush, politique étrangère, États-Unis, attentat du 11 septembre 2001, coalition, réseaux Al-Qaida, menace, paix internationale, entrée en guerre, monde civilisé, barbare, cohésion internationale, victimes civiles, lutte contre le terrorisme, justice, Cour pénale internationale, taux de confiance, Congrès
Le texte ici soumis à notre analyse constitue un discours du président des États-Unis d'Amérique, George Walker Bush, à l'attention du Congrès américain, mais également et surtout, à l'attention du monde entier. Récité en date du 29 janvier 2002 alors que George W. Bush ne fait que débuter son mandat à la présidence des États-Unis, ce dernier fait face à une crise de nouvelle nature après les attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington. Président républicain, ce dernier décide eu égard au contexte tendu de durcir sa politique étrangère.
[...] L'Irak continue à afficher son hostilité envers les États-Unis et à soutenir le terrorisme. [ . ] De tels États constituent, avec leurs alliés terroristes, un axe du Mal et s'arment pour menacer la paix mondiale. En cherchant à acquérir des armes de destruction massive, ils posent un danger dont la gravité ne fait que croître. Ils pourraient fournir ces armes aux terroristes, leur donner ainsi des moyens à la hauteur de leur haine. Ils pourraient attaquer nos alliés ou tenter de faire du chantage auprès des États-Unis. [...]
[...] Ce qui est à nouveau perceptible dans le présent discours « Les États-Unis poursuivront deux grands objectifs sans relâche et patiemment ». L'idée est que la liberté et la justice triomphent, au moyen d'une guerre comme l'affirme G.W. Bush « sauvé un peuple de la famine et libéré un pays d'une oppression brutale », « champion de la défense de la liberté et de la justice . principes . justes, vrais et inaliénables pour tous les peuples du monde ». Conclusion Finalement, sous le mandat de G.W. [...]
[...] Dès lors, cela mène à nous questionner sur les façons dont la politique étrangère des États-Unis est réaménagée après 2001 et plus précisément sous le mandat de G.W. Bush ? Afin de répondre à cette problématique et de comprendre le contexte, il sera nécessaire de dresser un bilan global de la situation des États-Unis depuis le 11 septembre 2001 pour ensuite s'attarder sur la politique mise en place afin de faire face à la menace (II). La vision d'un monde menacé Une menace depuis le 11 septembre 2001 Les attentats perpétrés en septembre 2001 à New York et Washington ont été revendiqués par Al-Qaïda, dirigée par Ben Laden, islamiste radical. [...]
[...] Dès cet instant, les États-Unis, sous la politique de G.W. Bush, partent en guerre contre « l'axe du mal ». C'est dans ce contexte que le président américain et son administration prennent la décision immédiate de constituer une coalition large afin de lutter contre des terroristes du réseau Al-Qaida, que Washington tentait d'ailleurs de neutraliser depuis de nombreuses années. C'est ainsi que dès le 12 septembre, la résolution 1368 de l'ONU reconnaît que les attentats du 11 septembre 2001 comme une menace contre la paix et la sécurité et établit le droit de légitime défense des États-Unis et de ses alliés. [...]
[...] ] En un instant, nous nous sommes rendu compte que cette décennie serait décisive dans l'histoire de la liberté et que nous étions appelés à jouer un rôle exceptionnel dans le cours des événements de l'humanité. Rarement le monde a eu à faire face à un choix aussi clair et dont les effets sont aussi importants. » Consignes Après avoir présenté ce document, montrez en quoi il éclaire l'analyse de la politique extérieure des États-Unis sous le mandat du Président Georges W. Bush. Le texte ici soumis à notre analyse constitue un discours du président des États-Unis d'Amérique, George Walker Bush, à l'attention du Congrès américain, mais également et surtout, à l'attention du monde entier. [...]
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