La signature en décembre 1997 du Protocole de Kyoto fut pour l'ensemble de la planète et des hommes un évt capital, qui projeta sur le devant de la scène géopolitique mondiale le pb menaçant du réchauffement climatique. Le Protocole, entré en vigueur le 16 février 2005 avec la ratification de la Russie, a pour objet une réduction globale de 5,2% des émissions des 6 principaux GES, en priorité du CO2, de 38 des pays signataires d'ici à 2012 par rapport à leurs émissions de 1990. L'entrée en vigueur du Protocole = une date majeure de cause écolo qui dès lors est devenue un sjt d'intérêt et d'inquiétude sérieux. Ce repère chronologique-clé semble un témoin très révélateur pour l'étude du problème du réchauffement, ainsi nous nous intéresserons successivement (...)
[...] Al Gore, prix Nobel de la Paix) voire au niveau Etat ( Californie grande avance sur le marché des clear tech »green tech = énergies propres considérées comme principal vecteur croissance éco pays développés (France : secteur services envt mondial cf. Véolia, Suez + nucléaire) en même temps fort usage des permis de polluer =Bonne volonté, tournant mentalités MAIS les intérêts passent avant et réticence individus à modifier leur mode de vie dans sociétés pays riches III/Les menaces et les défis de demain - Ambitions écologiques insuffisantes : Nous n'observons pas, à l'exception de quelques pays européens, de décrue dans les émissions de GES. [...]
[...] La réduction de ces émissions doit être avant tout un engagement immédiat, collectif, contrôlé et quasiment permanent compte tenu du phénomène d'inertie et du seuil critique atteint. ( volume des émissions en 2005 atteignait 38milliards de t de CO2 Combat qui risque de ressembler à un frein au développement (cf. opposition nécessité d'une désintoxication massive, dans toute l'économie mondiale des énergies fossiles or celles-ci sont quasi omniprésentes : de la nourriture acheminée en avion aux composés des ordinateurs Devant l'immensité de la tâche et les nombreux éléments qui la freine, tentation de ne pas s'en préoccuper est gde : avec le temps, la technologie pourrait apporter réponse aux problèmes environnementaux ( le Protocole = pas assez rigide et alarmiste, contraignant limites dans cadre système ONU) - Des répercussions désastreuses sur l'économie et la société On pense seul levier efficace = conscience coût éco de l'inaction, basée sur calcul de ce qu'on perd/détruit (biodiversité, terres cultivables 1e manifestations dramatiques du réchauffement climatique = sociales ( augmentation du prix du baril de pétrole et part croissante de l'énergie dans le budget des ménages annoncent conséquences graves : -mobilité à la fois contrainte et incompressible pour aller travailler -réévaluation du parc immobilier à l'aune de sa performance énergétique, mises aux normes coûteuses -augmentation matières 1eres répercutées dans achats (Risque de créer fossé social, d'où chaos social, instabilité politique et augmentation des conflits générés par crise énergétique et climatique - Autre problème important : la question des pays en développement Pas soumis à contraintes mesures environnementales pour ne pas entraver leur développement (les pays européens n'ont subis aucune contrainte quand ils étaient dans la même position) Or Chine et Inde = pays où émission GES exponentielle qui met en péril efforts ( 1t de CO2 expédiée dans l'atmosphère à Singapour compte également pour habitant de la Suisse ( Ces 2 pays détiennent entre leurs mains l'avenir climatique et énergétique de notre planète OR organes de gouvernance internationaux actuels (contrairement aux multinationales) ne passent ni par Pékin ni par New Delhi Pr ce qui est des PMA, ne veulent pas faire les frais catastrophe écolo dont ils ne sont pas responsables, par il faut trouver de nouvelles perspectives =La question de l'attitude à adopter face au réchauffement pose implicitement la question nécessité réorganisation du monde de demain par rapport à celui d'aujourd'hui du danger stagnation développement ( Nécessité nouvelles perspectives réorganisation du pouvoir, de l'éco et de relation des pays les uns avec les autres : aucune solution sans alliance et effort constant entre tous. [...]
[...] -Principaux gaz qui contribuent sensiblement à amplifier l'effet de serre Le dioxyde de carbone, = absorbe faiblement les radiations infrarouges mais il est d'une concentration importante dans l'atmosphère à l'état naturel Le méthane, l'oxyde d'azote, les composés chlorofluorocarbonés et l'ozone atmosphérique à l'état de traces. Or, ces gaz rares ont un pouvoir d'absorption des radiations infrarouges beaucoup plus important Or, l'augmentation de la teneur de ces gaz dans la troposphère est une certitude attestée (cf. travaux du GIEC co-prix Nobel en 2007). [...]
[...] Impacts physiques réels : fonte des glaciers, élévation du niveau océans, dégel du permafrost, décalage saisons. Autres événements probablement liés : inondations, sécheresses, tempêtes. Pr l'espèce humaine, changements climatiques =pas une menace immédiate pour survie. [...]
[...] Cependant, rapidité des changements pourrait empêcher humanité de réagir suffisamment vite pour éviter catastrophes et aménagements ruineux. De + danger accentué par inégalité des pays face aux GES : ( au N hausse des émissions, au S nécessité développement en particulier cas des NPI qui émergent (Chine, Inde) : tous ces problèmes font que question pressante de l'attitude à adopter= très délicate Eco : Réchauffement=gde menace pour croissance mondiale et développement éco & humain. Le chiffre de 60 milliards de $ est avancé pour coût des dégâts liés aux changements climatiques en 1996 Cf. [...]
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