Sciences politiques, place de l'ONU, guerre de Golfe, guerre d'Irak, Etats-unis, implication politique, implication militaire
Depuis sa création, l'ONU n'a cessé de s'impliquer dans des conflits. Nous nous focaliserons sur la guerre du Golfe sévissant en Irak de 1990 à 1991 opposant une coalition de 34 pays dont les États-Unis et quelques autres membres de l'ONU face aux Irakiens, ainsi que la guerre d'Irak survenue sur le territoire de ce pays dès 2003 jusqu'à nos jours opposant elle aussi les États-Unis aux Irakiens.
[...] La place de l'ONU dans la guerre de Golfe et d'Irak Depuis sa création, l'ONU n'a cessé de s'impliquer dans des conflits. Nous nous focaliserons sur la guerre du Golfe sévissant en Irak de 1990 à 1991 opposant une coalition de 34 pays dont les États-Unis et quelques autres membres de l'ONU face aux Irakiens, ainsi que la guerre d'Irak survenue sur le territoire de ce pays dès 2003 jusqu'à nos jours opposant elle aussi les États-Unis aux Irakiens. Quelle est la place de l'ONU au sein de ces deux guerres ? [...]
[...] Toutes les démarches de l'ONU n'étaient que purement administratives et politiques. En effet, cette dernière, ne possédant pas sa propre armée, cela lui était donc impossible d'intervenir personnellement dans les conflits. L'intervention militaire ne s'est faite qu'au travers de pays membres de l'ONU tels que les États-Unis lors de la guerre d'Irak. On peut se demander si après de tels conflits, ne serait-il pas envisageable et bénéfique de créer une véritable armée onusienne qui serait capable d'intervenir directement sur le plan militaire ? [...]
[...] II) L'implication de l'ONU sur le plan militaire A. Dans la guerre du Golfe Enfin, l'ONU ne se trouvant pas en possession d'une armée qui lui est propre, son implication militaire dans la guerre du Golfe ne s'est faite qu'au travers des pays membres présents dans la coalition sous l'égide de l'ONU (France, Royaume-Uni, États-Unis . Tout d'abord pour la guerre du Golfe, le 16 janvier 1991 et plus précisément dix neuf heures après la fin de l'ultimatum, l'opération Tempête du désert se met en marche. [...]
[...] Guerre d'Irak Concernant la guerre d'Irak, le procédé reste sensiblement le même. L'ONU ne prend pas directement part au conflit, mais essaie justement d'éviter tout conflit, toutes guerres et donc de limiter les pertes notamment au niveau humain. Dans un premier temps, avant la guerre, le 12 septembre 2002, l'ONU met en garde l'Irak contre la possession et l'utilisation d'armes de destruction massive (ADM) par le biais d'un rapport rédigé par les États-Unis. L'ONU fait ensuite, dès le 28 novembre 2002, intervenir ses inspecteurs de manière à parer toutes menaces potentielles d'armes de destruction massive. [...]
[...] Saddam Hussein, ayant finalement accepté, la guerre prend officiellement fin le 11 avril 1991. B. Dans la guerre d'Irak L'ONU ne disposant toujours pas de sa propre armée intervient encore une fois par le biais des pays membres de celle-ci notamment au travers des États-Unis qui prennent part à cette guerre et sont en quelque sorte les représentants de l'ONU dans ce conflit. La guerre d'Irak a débuté le 20 mars 2003 et s'est achevée officiellement avec le président Bush le 1er mai 2003 qui l'a qualifié de Mission accomplie suite à l'invasion de l'Irak qui a conduit à une défaite rapide de l'armée irakienne et à la capture puis à l'exécution de son dictateur Saddam Hussein. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture