OI Organisations Internationales, droit de vote, ONG Organisation Non Gouvernementale, théorie des organisations internationales, congrès de Vienne, organisations administratives, sécurité collective, organisation internationale du travail, Société des Nations, membre d'une OI, état, soft power
Aujourd'hui les OI sont bien plus nombreuses que les États. En effet, on en compte environ 600. Ce réseau est relativement important par rapport aux États, mais pas tellement vis-à-vis des ONG dont on en compte environ 5000. En revanche, aujourd'hui il y a un vrai débat sur leur légitimité. Elles seraient coupables d'inaction ou alors de trop d'action. Celle qui n'en ferait pas suffisamment serait les Nations unies.
Sont-elles alors vraiment utiles ? Mais utile à quoi et à qui ? La particularité de l'OI est d'abord d'être une personnalité juridique, mais également une personnalité morale. Ce qui fait que nous sommes sur un être créé qui doit sa vie directement aux États. Une idée est que les OI sont faites pour être utiles aux États.
[...] Dès lors que les États s'engagent dans un contrat avec une OI, ils sont limités par ce contrat et ainsi limités dans leurs actions. Pour les libéraux, l'OI n'est cependant pas totalement un acteur indépendant dans les Relations internationales. Les constructivistes ont pour idée que la réalité sociale est construite et leurs grands postulats sont : - Le comportement de tous les acteurs dépend entièrement des idées qu'ils ont d'eux-mêmes et du monde. En fait, les États et les OI agissent en fonction de leur représentation d'eux-mêmes et du monde. [...]
[...] Cette organisation suit l'ordre du système international. C'est que se posent les constructivistes. L'OMS est-elle donc un acteur libre et indépendant ou un acteur toujours enchaîné aux États ? Entre ce que disent et veulent les Etats et ce qu'ils transmettent, il y a une grande différence : c'est la bureaucratie de cette organisation. En prenant l'OMS, on remarque que la bureaucratie de celle-ci n'applique pas nécessairement la volonté des États. Dans un certain nombre de domaines, la bureaucratie va utiliser un certain nombre de ressources à sa disposition pour imposer ses préférences. [...]
[...] Si on est une sur négociation positionnelle, en réalité on va bloquer les négociations grandes étapes interviennent dans la négociation : - La préparation de la négociation, on risque d'arriver à un mauvais compromis, - Travail, les intérêts, - Distribution de valeurs, - Mise en œuvre de l'accord Le monde serait-il meilleur sans les Nations Unies ? Les OI sont un forum dans lequel tous les États peuvent se parler. C'est utile parce que ça permet les discussions entre les frères ennemis. [...]
[...] Cependant, au sein même d'une organisation, certains États ont plus de droits que d'autres. Généralement, ce qui pose problème c'est quand les États les plus puissants ont le plus de droits. La question première est de savoir ce que l'on met sous le terme « égalité ». L'égalité n'est clairement pas un concept objectif. Est-ce qu'on donne plus aux plus faibles pour qu'ils puissent rattraper les plus forts ? Est-ce qu'on donne plus aux États les plus forts, justement parce qu'ils sont plus forts ? [...]
[...] Le pays aurait utilisé sa diplomatie pour montrer à quel point il gérait super bien la crise. Les Chinois ont également utilisé la crise pour montrer à quel point ils ont un statut international en envoyant du matériel un peu partout. Si on se concentre sur les actions de la Chine durant la crise sanitaire, on ne peut pas dire que le pays ait utilisé un certain Soft Power, cela a plus ressemblé à de la propagande plus qu'à autre chose. [...]
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