En juillet 2006, alors que les hostilités entre Israël, le Liban et le Hezbollah venaient d'éclater, « le gouvernement [français] a fait mettre en place par le Ministère de la défense des moyens maritimes, terrestres et aériens afin de permettre aux ressortissants français, et aux étrangers qui le souhait[aient], de quitter le territoire libanais ». Au-delà de cette mission, l'opération devait permettre aux forces françaises « d'acheminer du fret humanitaire vers les zones les plus touchées par les combats et d'apporter un soutien à la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) dont la situation […] était précaire et particulièrement inconfortable ».
[...] CONCLUSION Alors que le conflit israélo-libanais était latent, la communauté internationale a été alertée dès le 12 juillet, par la violence des attaques bilatérales. À partir de cette date, les bombardements ont forcés les civils à fuir. Le nombre important de ressortissants français a imposé une intervention du gouvernement. L'opération de rapatriement Baliste a été activée six jours après l'enlèvement des soldats israéliens. Les évacuations se sont faites sous la menace des missiles du Hezbollah et des bombardements d'Israël. Plus de 8000 Français et étrangers ont pu être acheminés vers l'Europe en sécurité. [...]
[...] www.courrierinternational.com/dossier/2006/07/18/le-conflit-israelo-libanais. Page Officiellement, les représailles israéliennes étaient dues à l'enlèvement. On apprit en mars 2007 que le conflit consultée le 14/12/ aurait été prévu quatre mois plus tôt et que l'enlèvement était un déclencheur envisagé. Page 5 II.2.- Réactions internationales Réactions de l'ONU 20 Le 12 juillet, Geir Pederson, représentant norvégien dépêché au Liban pour l'ONU, condamna l'enlèvement des deux soldats et appela le gouvernement libanais à exercer le contrôle de son territoire. Il appela par ailleurs le Hezbollah à libérer les soldats ainsi qu'à faire preuve de retenue. [...]
[...] Ainsi, la culture libanaise englobe un système multiculturel de valeurs, de traditions, de croyances, de modes de vie, et d'art. Historique et politique du Liban8 : 1918-2006 Dans la seconde moitié du XIXème siècle, la région côtière du Liban était en plein essor. En 1918, le Liban fut occupé par les Alliés puis placé sous mandat français en 1922. En 1941, les représentants de la France Libre, sous la pression Britannique, proclamèrent l'indépendance de la Syrie et du Liban. En 1946, le pays devint une république parlementaire. [...]
[...] Des combats, dès 1973, opposèrent Palestiniens et armée libanaise, ce qui entraîna l'intervention de la Syrie et l'implication du monde Arabe. Ce fut le prélude de la guerre civile qui ravagea le pays de 1975 à 1990. Cette guerre civile9 opposa les progressistes libanais et les Chrétiens conservateurs. La Syrie y joua un rôle d'arbitre. Cette même année, Israël intervint en occupant militairement le Sud-Liban jusqu'à ce que les Casques Bleus de l'ONU interviennent pour empêcher les infiltrations de feddayin dans la zone frontalière. [...]
[...] Sa superficie, de 10452 rend le pays comparable à un département français. Ses paysages sont variés4 et le pays se divise en quatre bandes quasi-verticales : la plaine littorale, à l'Ouest, le Mont Liban, la vallée de la Békaa et l'Anti-Liban, à l'Est.5 En 2010, on estimait sa population à 4,1 millions d'habitants6 avec 88% de citadins, vivant sur la plaine littorale. En 2005, la densité était de 359 habitants/km². Aujourd'hui, la population est plutôt jeune avec de 20-65 ans et de moins de 20 ans. [...]
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