La mondialisation est un phénomène majeur qui donne lieu à de nombreuses interrogations quant à son efficacité. Elle obéit au principe d'accélération des échanges de toute nature dans le cadre d'une économie à l'échelle du monde. À la fois culturelle, financière et politique, elle ne se préoccupe pas des problèmes sociaux qu'elle peut impliquer et se base uniquement sur la notion de profit. Elle suggère une augmentation progressive et durable de la production dans le domaine tertiaire et donc, une élévation durable du niveau de vie (croissance). Ainsi, elle recherche le développement de ses différents acteurs, c'est-à-dire, l'amélioration des économies nationales, des conditions de vie, de ses moyens d'éducation et des infrastructures en vue de former un ensemble international, mondial et cohérent dans le but unique du bénéfice.
En cela, la mondialisation est-elle une solution pour la croissance et le développement du sud de la planète ?
Dans une première partie, nous nous pencherons sur les points positifs de la mondialisation à la fois économiques, financiers, politiques et sociaux. Puis, une seconde partie montrera les limites de ce phénomène.
La mondialisation valorise avant tout, par le biais d'organisations économiques régionales tel que l'UE ou encore l'OMC, le libre échange. L'OMC, née en 1994 pousse vers le libéralisme planétaire, c'est-à-dire qu'il réclame la chute de toute barrière douanière, de tout impôts et taxation à l'exportation pour permettre un commerce large entre les pays. Au nord, un bon nombre de produits, qu'ils soient manufacturés, à haute valeur ajoutée ou agricoles, sont exportés chaque année. Et avec la libéralisation des services et d'un tertiaire supérieur (exemple : service juridique de qualité), cela représente la production des ¾ des richesses. À la fois, ce commerce permet aux pays du sud d'ouvrir leur frontière et donc d'exporter à l'étranger : le Nigéria est ainsi le sixième exportateur de pétrole mondial et l'Argentine, nouveau pays industrialisé, pratique la valorisation de sa matière première en pratiquant la pétrochimie. Le commerce peut donc aider au développement de certains pays encore en marge. Ce n'est plus alors uniquement au niveau national que le pays connait un bénéfice mais aussi à l'intérieur du territoire (...)
[...] Ils peuvent à la fois délocaliser dans des pays pétrolier pour puiser directement la matière première. Les pays recevant ces délocalisations développent souvent autour d'elles, lorsqu'il s'agit de club de vacances ou de services touristiques, des infrastructures ou des attractions culturelle pour attirer les migrations temporaires. Et c'est par là que la délocalisation apporte des résultats concrets : hôtels, restaurants, boutiques réservées aux touristes, ces créations entraînant la création d'emplois et de richesses. Si la mondialisation peut être bénéfique à certains pays du nord comme à ceux du sud, elle peut également se révéler négatives pour les états les moins aptes, les moins préparés au libre-échange. [...]
[...] (réseaux pédophiles, drogues Au sud, ceux sont les grandes idées de libertés humaines qui posent problèmes : N'importe quel particulier ayant un accès à internet peut comparer ses conditions de vie et droit à ceux de tout autre pays. Cela engendre révoltes, conflits, coup d'état et désordre national. La délocalisation, si elle comporte un bon nombre de points positifs est cependant incontrôlable : les Etats n'ont aucun pouvoir sur les firmes voulant délocaliser des entreprises. Cette délocalisation apporte le chômage dans le pays d'origine et laisse ainsi beaucoup de problèmes sociaux. [...]
[...] Dissertation type BAC Niveau Terminale GEOGRAPHIE La Mondialisation est-elle une solution pour la croissance et le développement ? PLAN : Intro I. Les effets positifs de la mondialisation sur la planète Le libre-échange 2. Les NTIC 3. Les flux d'hommes 4. La délocalisation Transition II. Les points négatifs de la mondialisation Le non-respect du libéralisme par le nord 2. Des NTIC au manque de contrôle 3. [...]
[...] La mondialisation valorise avant tout, par le biais d'organisations économiques régionales tel que l'UE ou encore l'OMC, le libre échange. L'OMC, née en 1994 pousse vers le libéralisme planétaire, c'est-à-dire qu'il réclame la chute de toute barrière douanière, de tout impôts et taxation à l'exportation pour permettre un commerce large entre les pays. Au nord, un bon nombre de produits, qu'ils soient manufacturés, à haute valeur ajoutée ou agricoles, sont exportés chaque année. Et avec la libéralisation des services et d'un tertiaire supérieur (exemple : service juridique de qualité), cela représente la production des des richesses. [...]
[...] La rentabilité est plus importante étant donné qu'il ne faille plus de transports, qu'elle est de plus quasi-immédiate. L'imposition sur la spéculation disparaît et la réglementation est amoindrie. Le développement se fait donc par un secteur financier qui ne connaît plus les limites de la distance, du temps, engoncé dans la mondialisation. Au niveau politique, c'est principalement l'influence du nord vers le sud qui se doit d'être positif. Grâce aux NTIC, aux images médiatiques et aux grandes informations par internet, les yeux du sud y ayant accès, bénéficient d'un moyen culturel important. [...]
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