Ce document se base sur la grille analytique de Michael Brecher afin d'expliquer la crise diplomatique qui a eu lieu entre les Etats-unis d'un coté et l'Europe. Au sein de ce document nous aborderons une étude générae du conflit diplomatique sur la crise irakienne puis dans une seconde partie nous étudierons sous une approche microscopique le rôle de la France au sein de cette crise.
[...] Discours qui fut l'un des plus menaçants et des plus belliqueux de l'histoire américaine où Bush menace d'attaquer l'Iran, la Corée du nord et l'Irak ; pays qui constituent selon lui : un axe du Mal, armé pour menacer la paix du monde Discours qui provoquera un tollé au sein des presse dites de gauche en Europe où l'on ira même jusqu'à qualifier ce discours de : campagne pour la domination planétaire Puis la France par l'intermédiaire de son président Jaques Chirac oppose sa vision de la sécurité collective à la tentation américaine d'une action unilatérale et préventive en Irak et conditionne toute intervention contre Bagdad à un mandat des Nation unies. Le 12 Septembre 2002, à l'occasion de la 57ème session de l'Assemblée générale de l'ONU, Georges W. Bush prononce un discours sur l'Irak dans lequel il met en demeure M. Saddam Hussein de retirer ou détruire immédiatement et sans conditions toutes ses armes de destruction massive et appelle l'ONU à formuler une nouvelle résolution afin d'obtenir le désarmement de l'Irak. [...]
[...] Le 23 Septembre le président français réitère sa mise en garde contre une intervention unilatérale des Etats-Unis et s'oppose au projet de résolution américain contre Bagdad qui exige l'accès au site d'armement avant un recours automatique à la force Le 17 octobre 2002 compromis entre français et américain sur la question irakienne, les américains renonce dans leur résolution à un recours automatique à la force. Le 20 juillet 2003 face aux menaces persistantes d'une intervention armée en Irak de la part des Etats- Unis la France menace d'utiliser son véto (ce qui valu à la France d'être traité de vieille Europe par les Etats-Unis).Le 14 Février 2003, discours du chef de la diplomatie française, Dominique de Villepin où il se livre à un plaidoyer contre une intervention militaire prématurée et propose un nouveau rendez vous sur la question irakienne pour le 14 mars. [...]
[...] Etude de la crise diplomatique entre français et américaines sur la crise irakienne INTRODUCTION : Les mésententes diplomatiques entre l'Europe et les Etats-Unis sur la zone du proche et moyen orient sont faits commun depuis de nombreuses années. La crise diplomatique que nous allons étudié aujourd'hui est celle relative au conflit en irak. Avant d'expliquer pourquoi européens (d'une moins une partie de l'Europe) et Américains vont s'opposer sur ce dossier il est bon de rappeler la doctrine américaine au sein du système international ainsi que les éléments ayant aboutit à cette crise. [...]
[...] Et assure qu'en cas de désaccord les Etats-Unis conduiront seuls une offensive militaire. Le 17 Septembre 2002 l'Irak annonce qu'il accepte un retour inconditionnel des experts en désarmement des Nations unies. Le 24 Septembre 2002 M. Blair rend public un rapport réalisé par les services secrets britanniques selon lequel le régime irakien continue de développer des armes de destruction massive et serait en mesure de construire une arme nucléaire à court terme (rapport qui se révélera faux). Le 8 Novembre 2002 est la date du point de rupture dans la crise, c'est le jour le conseil de sécurité de l'ONU vote, à l'unanimité de ses quinze membres la résolution 1441 sur le désarmement de l'Irak et le retour des inspecteurs. [...]
[...] Pour finir, on peut dire que cette crise créa de part et d'autre une certaine antipathie entre français et américain. J'ai choisi d'étudier cette variable car elle nous permet de voir les conséquences économiques et sociales que la crise a pu engendrer au sein des différents acteurs. Type de conflit généré pour la France : La France va être confronté à une crise de nature diplomatique face aux Etats-Unis. Elle décidera de ne pas s'aligner sur la position américaine en conduisant la ligne du non à une intervention armée en Irak notamment depuis la prise de position du ministre des affaires étrangères françaises, Dominique de Villepin lors de son discours du 12 Septembre 2002 à l'ONU où il explique la position française. [...]
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