A l'heure l'actuelle les grosses entreprises échangent de plus en plus avec l'étranger afin d'augmenter leur marché potentiel et ainsi le volume de leurs échanges. Cela est rendu possible par le libre-échange, qui est la suppression de toutes barrières aux échanges de biens et de services entre pays mais qui se heurte à divers obstacles comme la volonté des gouvernements et des populations de protéger leur économie de la concurrence. De ce fait des obstacles (taxe, normes...) seront mis en place afin de réduire les entrées sur le marché des biens et services étrangers.
Les échanges internationaux contemporains de biens et de services relèvent-ils du "libre-échange" ? (...)
[...] De même sorte, certains gouvernements ont pratiqué le protectionnisme afin de favoriser ou retarder des mutations structurelles dans le but de protéger leurs industries naissantes ou leur économie en reconstruction. Cette politique c'est traduite par la mise en place de mesures (barrières) visant à diminuer les importations : - taxation à l'entrée des produits importés, ce qui augmente le prix sur le marché intérieur et donc en limite le volume de ventes (les droits de douane par exemple). - Mise en place de quotas qui limitent les quantités d'importation de certains produits - Mise en place de normes de sécurités, sanitaires ou environnementales par exemple. [...]
[...] Il s'agit d'un accord signé par une cinquantaine de pays qui s'engagent à respecter un certain nombre de principes facilitant le libre-échange. Premièrement, les droits de douane sont progressivement abaissés afin de plus être des barrières à l'échange des marchandises. Deuxièmement, les quotas sur les importations et les exportations sont supprimées. Troisièmement, la pratique du dumping» qui consiste à vendre un produit à un prix inférieur à son coût de revient (vente à perte) est interdite. De même sorte, la signature du Traité de Rome donnait naissance au Marché commun et créer la communauté européenne. [...]
[...] De ce fait des obstacles (taxe, normes ) seront mis en place afin de réduire les entrées sur le marché des biens et services étrangers. Les échanges internationaux contemporains de biens et de services relèvent- ils du " libre-échange " ? Nous verrons dans un premier temps que le libre échange est souhaité car il est facteur de développement économique, puis dans un second que malgré la résistance de certaines pratiques protectionnistes le libre échangisme à des effets concrets. I. Le libre échange est souhaité car facteur de développement économique. [...]
[...] C'est donc maintenant le GATS (General Agreement on Trade in Services) qui applique aux services les approches qui ont fait le succès du GATT. En effet, c'est dans le secteur des services que la concurrence étrangère se heurte le plus souvent à des barrières (attitude protectionniste). Nous venons de voir que le libre échange est souvent souhaité car il est source de développement économique, nous allons voir que malgré certaine pratique protectionniste le libre échangisme à des effets réels sur l'économie. [...]
[...] CONCLUSION La tendance actuelle est future des échanges de biens et de services est nettement au libre échangisme. En effet comme nous avons put le voir cette politique économique à d'abord touché l'échange de biens puis les services à leurs tours. Le développement des moyens de communications a permit l'application du libre échangisme aux services. Cette tendance est explosion depuis ces dernières années. De nombreux accord commerciaux ont vu le jour sur chaque continent afin de faciliter la mise en place du libre échangisme dans les échanges de biens et services : ALENA (pays d'Amérique du nord et Mexique) , l'ASEAN(pays d'Asie du sud- est), CNUCED (pays du tiers monde) Cependant dans certains pays un protectionnisme éducateur comme le nomme l'économiste Friedrich List est mise en place afin d'aider certaines industrie naissante ou économie en difficulté. [...]
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