Au Cameroun, de nombreuses richesses comme les diamants, l'or ou le saphir prospèrent mais n'intéressent pas les français. Elle n'exploite que du pétrole.
Parallèlement, les chinois ne font pas les difficiles. Ils prennent tout ce qu'il leur tombe entre les mains.
Contrairement aux occidentaux, lorsque la Chine conclue un accord commercial elle ne s'occupe pas de politique. Les deux nations se parlent d'égal à égal.
[...] Ces derniers vont aider les français durant les 2 guerres mondiales mais il n'y a pas de réciprocité. Les Français ne se battrons pas pour l'Afrique. Peu après, survient le génocide rwandais. La France a soi-disant rien vu venir. On se demande alors si le feu des relations franco-africaines peut reprendre. Certains y croient notamment grâce a l'élection de Chirac en 1995. Il veut mettre la Françafrique au pas. Il existe beaucoup de non-dits dans cette relation, révélés par le destin de la côte d'Ivoire. La France ne voit jamais rien venir face à un crise. [...]
[...] Les entreprises françaises sont contraintes de désinvestir. L'Afrique reprend confiance et veut diversifier ses interlocuteurs internationaux. Tant le nombre de chinois en Afrique est important, que des Chinatown poussent dans toutes les capitales d'Afrique. Les soldats français commencent à déranger car ils sont perçus comme une force d'occupations, comme de faux amis. Ils ne daignent pas défendre en cas d'attaque rebelle. La langue française désintéresse les africains, autant la population que les chefs d'Etat. Inversement, l'apprentissage du chinois se développe très vite. [...]
[...] Contrairement aux occidentaux, lorsque la Chine conclue un accord commercial elle ne s'occupe pas de politique. Les 2 nations se parlent d'égal à égal. L'Afrique a le sentiment d'avoir été trahie par la France. Début 1990, la France commence à se désintéresser de l'Afrique car ses mœurs dérangent. Elle se tourne vers la Chine, plus docile. La France laisse l'Afrique livrée à elle-même. S'en suit une période de conflits intérieurs qui vont mener à un déclin économique. La Chine rajoute son grain de sable et propose son aide aux africains. [...]
[...] La Côte-d'Ivoire et le France s'éloignent. Chirac menace Gbago, une nouvelle fois, la Chine se fait cajoleuse. Elle ne dissimule plus sont intérêt pour le pétrole ivoirien non plus. Elle fait même des cadeaux. Les ivoiriens croient en la Chine et ne souhaitent plus continuer le mariage qui les unis avec la France. Paradoxalement, c'est lorsque l'Afrique attire le monde entier que la France est hors-jeu et semble plus mal vue que jamais dans les anciennes colonies. Mais il existe toujours un vrai désir de France en Afrique plus sentimental. [...]
[...] Chirac a conscience de changement de comportement avec l'Afrique, il souhaite greffer la France à des projets de coopérations avec la Chine. Il veut une coopération triangulaire. Mais toutefois, Chine et France restent rivales en Afrique. La France va déclarer plus tard qu'elle peut se passer de l'Afrique économiquement. S'en suit de nombreuses questions et débats. Pourquoi restent-ils implantés en Afrique ?se demandent des économistes africains. En 2007, Sarkozy annonce qu'il souhaite aider l'Afrique. Cependant, une chose est sûre, face à l'offensive chinoise, la France devra s'investir donc dépenser et prendre des risques. [...]
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