L'Afrique subsaharienne et le monde - publié le 17/07/2009

Résumé du document

- Relation anciennes avec le reste du monde, datant d'avant la colonisation (Moyen-âge, échange de produits fabriqués contre produits bruts par le Sahara ou la côte Est de l'Afrique).

- A partir du XIXe, l'Afrique fournit aux métropoles des produits agricoles, du bois, du pétrole à la fin. Minerais : diamant, fer, cuivre...Le pétrole commence a être exploité dans les 60s dans le golfe de Guinée (Angola 56 : début exploitation). S'étend ensuite au Congo, Cameroun, Tchad, Soudan.

- Exploitation des ressources : des sociétés s'implantent venant des métropoles. Cuivre au Katanga contrôlé par la Société générale de Belgique, Anglo-American + Roan Selection Trust en Zambie, Us Steel au Gabon, et les Majors du pétrole s'implantent dans le golfe de Guinée (...)

Extraits

[...] Elle ne suit pas lʼexplosion des IDE. Les secteurs récepteurs sont surtout lʼextraction (pétrole ) mais aussi, récemment, les télécommunications (équipement du pays en lignes ) avec notamment Orange en Côte dʼIvoire, Vodafone en Afrique du Sud. Pays récepteurs : pétroliers (Nigeria, Angola, Soudan Des pays comme le Burkina Faso, le Centrafrique, ne reçoivent quasiment pas dʼIDE. -Les investissements boursiers : il y a une vingtaine de bourses en AS, mais ils sont embryonnaires sauf Johannesburg. Le 2e est au Nigeria, puis Abidjan. [...]

[...] LʼAfrique subsaharienne et le monde Notation : AS = Afrique Subsaharienne Peut-on parler de marginalisation africaine, ou dʼintégration par défaut ? 1945 : mise en place de la zone franc 2000 : accords de Cotonou 1975 : début accords de Lomé (CEE-ACP) 2000 : American Growth and Opportunity Act(AGOA) 1994 : dévaluation du franc CFA Décembre 2005 : réunion de lʼOMC à Hong Kong I. Une région traditionnellement exportatrice de produits bruts A. Une structure des échanges mise en place de longue date -Relation anciennes avec le reste du monde, datant dʼavant la colonisation (moyen âge, échange de produits fabriqués contre produits bruts par le Sahara ou la côte est de lʼAfrique). [...]

[...] Mais Italie : liens privilégiés avec Ethiopie et Erythrée. -Relations avec les institutions européennes : 63 (à Yaoundé) : 1e convention liant lʼEurope à 18 pays africains : signature de Lomé 1 (entre lʼEurope à 9 et lʼACP), il y aura 4 lomé puis en 2000, nouveau type de partenariat. A chaque fois, le but est de mettre en place des règles commerciales (tarifs préférentiels pour les produits Africains), financières (compensation des baisses des prix mondiaux par des transferts financiers pour garantir la stabilité des prix), et une prévisibilité sʼinscrivant dans la durée des accords. [...]

[...] Les relations les plus fortes concernent les ressources en matières premières. Forte croissance des IDE venant dʼAsie (chine : 600 entreprises en AS, Inde investit en Tanzanie (produits chimiques) en Zambie (cuivre), au Malawi (telecom, textile). Les échanges ont pregressé (biens dʼéquipements, de conso, importés en Afrique). Les 5 1ers partenaires de la Chine sont lʼAfrique du Sud, lʼAngola, le Soudan, le Nigeria, le Congo Brazzaville). Mais les marchés asiatiques sont parfois trop protégés pour les pays africains. -Le Japon : avant le Japon était très peu présent. [...]

[...] Depuis les 70s, leur influence se fait sentir par le biais des échanges. Importation matières premières, vente de produits manufacturés et notamment dans lʼautomobile (Toyota très présente). Dans les 80s-90s, il sʼoriente vers lʼaide au développement, il est mtnt un donateur important en Afrique noire. 1e au Botswana, au Ghana, au Bénin et en GuinéeBissau conventions dans les années 90 (TICAD et c a d conférences internationales de Tokyo sur le développement). Le Japon cherche à se créer de nouveaux marchés potentiels, plus volonté politique de sʼaffirmer. [...]