Depuis les grands désastres humains d'Hiroshima et de Nagasaki, l'arme atomique est devenue le moyen par excellence pour une nation d'imposer sa volonté au niveau international. La Guerre froide est un bel exemple de l'apport de l'arme atomique dans les relations internationales. Cette guerre opposait les deux grandes puissances atomiques qui, de 1945 à 1989, n'ont jamais osé s'affronter officiellement car la peur d'un incident nucléaire rendait toute confrontation extrêmement dangereuse. Une course éffrennée aux armements s'en est suivie où le pays qui possède le plus d'engins nucléaires deviendra le plus imposant. À cause de l'importance que l'arme suprême a prise, le privilège de la détenir est devenu une nécessité pour certains pays voulant gagner un poids sur les relations internationales. Toutefois, la difficulté d'acquérir la technologie pour produire cette fameuse arme a permis à un cercle très restreint de la posséder. Ce cercle est majoritairement composé de grands États ayant d'énormes moyens, mais certains de ces États ont réussi l'exploit grâce à leur génie et avec des moyens beaucoup plus petits.
[...] Tale of Nuclear Proliferation: How Pakistani Built His Network», New York Times février 2004, A1 LUTES, Charles. nouveaux acteurs sur la scène:A.Q. Khan et le marché noir nucléaire», site du ejournalUSA (publication faite par le Programme d'information internationale du Département d'État des Etats- Unis), [En ligne], mars 2005, http://usinfo.state.gov/journals/itps/0305/ijpf/lutes.htm (page consultée le 20 novembre 2006) BROAD, William. Tale of Nuclear Proliferation: How Pakistani Built His Network», New York Times février 2004, A1 LUTES, Charles. nouveaux acteurs sur la scène:A.Q. Khan et le marché noir nucléaire», site du ejournalUSA (publication faite par le Programme d'information internationale du Département d'État des Etats- Unis), [En ligne], mars 2005, http://usinfo.state.gov/journals/itps/0305/ijpf/lutes.htm (page consultée le 20 novembre 2006) LUTES, Charles. [...]
[...] C'est évidemment par idéologie nationaliste qu'il s'est joint au programme nucléaire de son pays. Pour le moment, les éléments nous révélant des indices sur les intentions d'A.Q. Khan nous ramènent toujours à la conclusion que notre sujet est un savant idéologue plutôt qu'un savant marchand. Toutefois, à partir de 1990, au moment où le Pakistan se rapproche des États-Unis, on peut remarquer un changement de direction par A.Q. Khan. Les enquêtes déterminent que son réseau mondial de vente de matériel nucléaire a été conçu autour des années 1990. [...]
[...] Abdul Qadeer Khan et le programme nucléaire Pakistanais Introduction Depuis les grands désastres humains d'Hiroshima et de Nagasaki, l'arme atomique est devenue le moyen par excellence pour une nation d'imposer sa volonté au niveau international. La Guerre froide est un bel exemple de l'apport de l'arme atomique dans les relations internationales. Cette guerre opposait les deux grandes puissances atomiques qui, de 1945 à 1989, n'ont jamais osé s'affronter officiellement car la peur d'un incident nucléaire rendait toute confrontation extrêmement dangereuse. [...]
[...] C'est en mars 2001, que Musharraf demet Abdul Qadeer Khan de ses fonctions à la tête du KRL. L'action ne passe pas inaperçue au sein de la population qui critique l'attaque au héros national qu'est Khan. Les critiques sont si fortes que le général Musharraf se voit obligé d'offrir un poste ministériel de conseiller spécial aux sciences et technologies, qui s'avère être un poste fantoche. La manœuvre est intelligente car elle permet de discipliner et garder à proximité le héros national devenu une menace pour le régime militaire pakistanais tout en calmant la population. [...]
[...] Son travail à l'intérieur de l'entreprise européenne se voit bousculer par un évènement arrivant très loin des Pays-Bas. L'Inde, qui est à ce moment l'ennemi juré du Pakistan, effectue son premier test nucléaire au mois de mai 1974. Cet évènement trouble la sécurité du Pakistan et le premier ministre, Zulfikar Ali Bhutto, approche A.Q. Khan pour lui demander de prendre en charge le programme nucléaire pakistanais. La date exacte de l'offre du premier ministre à notre éminent scientifique n'a jamais été établie, mais on peut supposer qu'elle a eu lieu fin 1974 ou début 1975. [...]
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