Le besoin d'étudier les relations internationales apparaît après la première guerre mondiale.
1ère chaire : 1919 au pays de Galles , ensuite les USA
Traumatisme de la PREMIÈRE GUERRE MONDIALE engendre une réflexion sur les causes de la GUERRE pour comprendre comment faire la Paix
Le but est alors de comprendre, il y a un désir et la volonté d'aller plus loin que l'Histoire de l'époque, qui est trop événementielle et pas assez explicative
Contexte : USA refusent de tenir rôle qu'ils auraient pu tenir après leur intervention déterminante en 1917.
Début d'une réflexion sur le rôle de la puissance
[...] Et la forme politique qu'est l'Etat ne parvient plus à les satisfaire. DONC : ils se tournent vers d'autres acteurs. Il a une pensée libérale = c'est l'homme qui choisit quelle autorité va au mieux satisfaire ses besoins Il propose une analyse de l'histoire comme le passage inévitable vers un autre monde auquel on doit se préparer vision quasi révolutionnaire, Marx n'est pas loin avec sa révolution comme nécessité historique. Ce qui est chouette avec ce courant, c'est qu'il parle d'un monde qui change et en ce sens, il rompt avec le conservatisme ambiant des autres ex : Aron qui dit que paix est une parenthèse entre les guerres et que ça ne changera jamais Pour lui, il n'y a pas de distinction entre la politique interne et la politique internationale, c'est-à-dire qu'un besoin non assouvi dans l'ordre interne peut avoir des conséquences dans ordre international. [...]
[...] MAIS, il parle aussi du développement de la contestation international, qui existait déjà à son époque. On peut dire qu'elle remonte même avant la Première guerre mondiale avec les mouvements pacifistes à travers l'Europe. Section 3 : Turbulence dans la société mondiale Quand il publie Turbulences dans la société mondiale il atteint des sommets dans l'aboutissement de sa pensée. Dans ce livre, il étudie la politique post-internationale, c'est la même chose que politique mondiale ou que le monde post-westphalien. Ce qui caractérise cette société c'est qu'elle est en proie au désordre. [...]
[...] Il simplifie a l'extrême et dénonce avec énergie les Anciens. Il propose une théorie radicalement différente le retour à la théorie les théories behavioralistes. Pour eux, la théorie a une valeur pauvre : une simple hypothèse qu'on teste à la réalité. C'est l'empirie qui prime. Si la théorie ne cadre pas avec la réalité annulée Walz a une haute vision de la théorie. Elle est une activité déductive. [...]
[...] ce n'est pas l'idéologie qui est une force en soi, c'est la force de la mobilisation autour de l'idéologie. Il s'appuie sur 2 ex le totalitarisme (ex : force la mobilisation autour du national- socialisme en Allemagne) le communisme en URSS Il assure grave quand il donne il dit que la gloire est aussi une ressource de la puissance. Avant lui, Hume avait donné une définition de la gloire : l'amour propre des nations Aron donne une nouvelle définition : La qualité de l'image d'un Etat aux yeux des nationaux et de l'extérieur Il est presque un précurseur car il comprend déjà la force de l'image dans la conduite des relations internationales. [...]
[...] Il y a 2 nouveaux référents : l'homme individuel et l'humanité C'est à partir de ce moment qu'on s'est mis à parler d'une nouvelle organisation du monde = le monde post-Westphalien Le Traité de Westphalie de 1648 avait organisé les relations internationales. Ce temps est désormais révolu : instabilité fondamentale du nouveau monde parce que les Etats perdurent mais les acteurs transnationaux jouent un rôle, rendant ainsi la situation intenable. Section 2 : la doctrine transnationaliste = doctrine qui donne privilège aux phénomènes transnationaux dans l'étude des relations internationales. Développement avec John W. [...]
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