Relations internationales, conflit israélo-palestinien, processus de paix, droit international public, DIP
Au XIXème, la région appelée Palestine était une province de l'empire ottoman. A la fin de la seconde guerre, elle est placée sous le régime des mandats qui est confié aux nations unies qui a pour but d'administrer ce territoire. La Palestine connait une immigration de population juive, promut par Théodore Herzl (considéré comme un des fondateurs du sionisme).
Herzl constate, notamment suite à l'affaire Dreyfus, un certain antisémitisme et un échec d'intégration des juifs en Europe. D'où la nécessité de trouver une nation juive.
Les britanniques sont favorables à la constitution d'un état juif.
[...] Dans la charte des NU, on trouve plusieurs signes de ce concept : préambule (« nous, peuples des nations-unies), article 1 paragraphe 2 (concernant les buts de l'ONU : développer entre les nations des relations amicales en respectant le droit des peuples à dispose d'eux-mêmes). Face nationale du concept : peuple choisi son état Face internationale du concept : peuple peut choisir de l'autonomie, maintien dans un état territorial, ou accéder à l'indépendance. Le contexte de l'affirmation international du droit des peuples : Transformation : après 1945, les peuples décolonisés proclament leur indépendance. On estime qu'il y a eu deux phases de décolonisation : d'abord en 45 puis en 55. [...]
[...] nationalisme serbe virulent. La Yougoslavie avant la dissolution est un état socialiste, qui a développer la théorie de l'autogestion. Cet état a été dirigé par Tito depuis la seconde guerre jusqu'à sa mort en 80. Composée de 6 républiques : Serbie, Monténégro, macédoine, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Slovénie. Ainsi que 2 provinces autonomes : la Vojvodine, le Kosovo. Ce n'est pas un état nation, plusieurs peuples composent cet état yougoslave. Aujourd'hui, toutes les républiques précédentes sont devenues des états. Le Kosovo en février 2008 a proclamé son indépendance. [...]
[...] Plusieurs états sont favorables à la Serbie, le plus puissant étant la Russie. L'Espagne a choisi de ne pas reconnaitre le Kosovo pour ne pas donner un signal à ses propres régions autonomes. Raisons de la reconnaissance sont aussi politiques : - peut apparaitre comme un soutien à une collectivité qui n'est peut-être pas encore solide. Dans le cas français, le soutien n'est pas exprimé clairement dans ses termes : nécessité de protéger les droits de la minorité serbe. Le droit du peuple kosovar n'est pas directement évoqué. [...]
[...] Le secrétaire général de l'OTAN estime que dans ces conditions, l'emploi de la force est possible. Cette campagne de bombardement est lancée en mars 99 à la suite de l'échec de négociation avec la Serbie. La Serbie accentue la persécution conte les kosovars, et lance une campagne de purification ethnique afin de modifier la situation démographique du Kosovo. Beaucoup de kosovar se réfugient en Albanie, état voisin du Kosovo – L'administration internationale du territoire. A la fin de cette campagne militaire de l'OTAN, la Serbie et Milosevic sont contraints d'accepter les conditions de l'OTAN sous la pression militaire. [...]
[...] Relations internationales Rappel historique du Conflit israélo-palestinien. Création de l'état d'Israël : Au XIX, la région appelée Palestine était une province de l'empire ottoman. A la fin de la seconde guerre, elle est placée sous le régime des mandats qui est confié aux nations unies qui a pour but d'administrer ce territoire. La Palestine connait une immigration de population juive, promut par Théodore Herzl (considéré comme un des fondateurs du sionisme). Herzl constate, notamment suite à l'affaire Dreyfus, un certain antisémitisme et un échec d'intégration des juifs en Europe. [...]
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