relations internationales, Amérique intérieure et extérieure, guerre du Vietnam, Nixon, Kissinger, vietnamisation, chasse aux sorcières 1917-1957
Il y a un enfoncement progressif dans la guerre. C'est quelque chose qui remonte très loin, la caricature de Jule Fayfeur. Cet enfoncement progressif au Vietnam est quelque chose d'absolument dramatique. Cela apparait de plus en plus rétrospectivement comme quelque chose qui serait facile de qualifier de mauvaise guerre au mauvais moment. Ces Américains se sont impliqués à la guerre du Vietnam. Nixon est un républicain. Ces bonnes raisons sont des concepts, il y a deux ou trois idées fortes qui font que les Américains s'impliquent à la guerre de Vietnam.
[...] Le pire c'est de frapper militairement un très grand coup sur le Nord du Vietnam. Toute les années 60, en dépit des centaines des bombes versé il n'y a jamais eu de frappe décisive brutale qui aurait put mettre le Nord du Vietnam à pied. Mais ne le fait pas car ils ont des facteurs contraignante qui entrainera de grosse conséquence. Mais des frappes nucléaires pouvaient être faites, dans le nord du Vietnam mais en réaction des chinois, ils ne l'ont pas fait. [...]
[...] Les cycles économiques des États-Unis La guerre du Vietnam coute extrêmement chère. C'est une guerre exporté hors de l'Amérique. Cette guerre du Vietnam 1970-1975 pour la période que l'on a vue, malheureusement l'économie américaine va mal tourner l'inflation commence et le choc pétrolier de 1975 ne va rien arranger. Cette inflation va être entretenue alimenter par la guerre. Ces immenses dépensions va entrainer a de forte inflation. C'est ce que l'on appel le Guns et Butter Cette détérioration des économies a des persécutions sur la situation intérieure de l'Amérique. [...]
[...] Il y a comme en France la séparation des pouvoirs : législatif, exécutif et judiciaire. Au E.U il y a l'équilibre des pouvoirs, c'est à dire ils doivent être séparé mais aussi être égal. C'est-à-dire l'un doit pouvoir freiner l'autre. Aux E.U il y a un équilibre et une séparation de pouvoir. C'est-à- dire aux E.U le système fonctionne mieux quand il y a un blocage. Quand il y a un blocage total cela veut dire qu'il n'y a pas de pouvoir total et que personne ne peut faire quelque chose. [...]
[...] Le congrès a entravé la politique étrangère de la présidentielle. Il veut mener une politique étrangère présidentiel américaine. Le gouvernement fédéral lui-même est également un problème. Nixon et Kissinger se méfie de leur propre gouvernement, du pentagone et du département de la défense. Aux E.U, il est absolument certain que le ministère de la défense qui est dirigé par des individualités personnelles mène leur politique étrangère propre. Ils n'obéirent pas au Président. Nixon a pensé qu'il pouvait faire cette politique étrangère extérieure aussi également à l'intérieure, d'où le Watergate. [...]
[...] Ces relations vont entre-ouvrir la voie aux relations diplomatiques chino-américaines. C'est un signe d'ouverture important, c'est quelque chose d'étrange dans ce pays qui nager en révolution culturel et qui était fermé. Il y a effectivement par le canal du président pakistanais des messages qui circulent. Ce sont des notes manuscrites qui passent de Pékin à Islamabade, et il faut des semaines pour que ces canaux qui partent de Pékin arrivent en Amérique. La personne lit la lettre et on la reprend. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture