La scène internationale est une réalité. Il faut partir des faits puis faire appel aux théories. Les Relations Internationales sont très mal institutionnalisées en France par rapports à d'autres pays comme la grande-Bretagne. Ils puisent ses apports aux carrefours d'autres disciplines : le droit international (avec en particulier la compilation de traités), la philosophie, l'économie politique. Il existe un auteur phare : Harrison. L'histoire a longtemps considéré que les faits se suffisaient à eux-mêmes. Kant écrit les prémisses d'un philosophie des Relations Internationales (vers la paix perpétuelle) mais il s'agit plus de philosophie normative ; or il vaut mieux expliquer les faits comme ils sont que comme ils devraient être : les Relations Internationales sont une science descriptive et qui se veut prédicatrice (...)
[...] Grands nombre de veto qui ont paralysé son action 203 pdt la guerre froide. Contre 6 veto entre 1996 et veto entre 1989 et 1996. Entre 1945 et 1884, l'ONU est intervenu peu. Casques bleus : accords de cessez le feu ( concrétisation de l'application de l'accord. A partir de 1989 : contexte de nouvel ordre politique. L'ONU a autorisé des politiques d'intervention en Irak (confiée aux EU) en idem en en Somalie avec la difficulté de la paix car plus qu'un arbitrage. [...]
[...] La domination exercée par les FMN des Etats-Unis et d'Europe de l'ouest, productrices de biens culturels, sur le marché globalisé a pour effet de diffuser une version commerciale standard de la culture occidentale au détriment des productions originales des autres pays. La culture est alors perçue comme l'un des vecteurs de l'impérialisme occidental. Selon Masmoudi, cité par Held, dans une étude de 1979, cinq agences de presse occidentales produisaient alors 80% des informations dont 25% seulement portaient sur des pays du Tiers-monde. Une culture globalisée, dont la majorité des produits sont en réalité américains ( c'est l'exemple des 77% de programmes télévisés importés en Amérique Latine), qui sont synonymes de fin de la diversité culturelle. B. L'interprétation internationaliste. [...]
[...] Stratégies venues d'en haut, recrutés par cooptation, la base est amenée à financer l'org° et à la soutenir dans ses décisions. L'ONG disent qu'elles sont comptables vis à vis du grand public, elles sont donc soutenues. Argument qu'elles sont par nature démo car leur structure d'ONG les rend démocratique. Mise en cause publique : perception comme complot, discours victimaire. Mais les statuts juridiques sont différents. Participation à des forums de négociation internationale. L'influence diminue au fur et à mesure qu'on approche dans la prise de décision finale et formelle. [...]
[...] Forte culture organisationnelle ac le modus operandi et qui permet ds les zones de conflit de distinguer les opérateurs onusiens et les opérateurs locaux (ONG, diplomatie). Cet ensemble est difficile à coodoner du fait de la création empirique : gaspillage d'argent et chevaauchement des compétences. Mais l'ECOSOC est responsable devant l'AG : supervisation dans les fonds des programmes spécialisés. Les chefs de chaque org° ne se sentent pas tenus financièrement, seulement sur les programmes. Budget : aide au dévt ou aide humanitaire. [...]
[...] Df auteurs ont souligné la difficulté de construire une définition opérationnelle du terrorisme, compte tenu des usages polémiques du terme et de la confusion qu'entretiennent les classements officiels (des services de police ou de renseignement). L'étiquette terroriste est souvent accolée à des activités de nature diverse : L'assassinat ponctuel de personnalités politiques. Les attaques contre les forces de l'ordre (armée ou police) Les trafics, vols et l'extorsion de fonds pour financer la lutte armée. Les violences entre groupes idéologiquement opposés. [...]
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