Enjeux de la mondialisation, relations internationales, exportation de la démocratie, modèle étatique, Etat, mondialisation
Ce système mondial est hétérogène. Divers acteurs, divers statuts. C'est l'élément moteur des RI puisque cela engendre de nouvelles formes diplomatiques, et influence la création normative. Il y a bouleversement du système international.
Les bouleversements ont-ils changé les rapports de force ?
La mondialisation provoque une redéfinition de la place des grands Etats.
Les États continuent de s'observer, à se concurrencer. Ils continuent à se projeter dans la zone internationale. Les rapports de force demeurent un référentiel.
La seule différence dans ces rapports de force, c'est que la guerre inter étatique n'est plus prépondérante. Nouveaux canaux.
Par delà, le maintien des rapports de force, la matrice identitaire des États évolue. Les logiques de puissance n'ont pas disparu, mais ne s'articulent plus autour des mêmes enjeux.
[...] National endement for democraty financé des fondations liées à des organisations politique ou syndicale qui œuvré à la promotion de la démocratie à l'étranger. Les nations unis sont intervenus pour assoir la démocratie, en transformant les guérillas en parti politique. Ce qui a permi une évolution institutionnelle notable de ces Etats, s'est révélé trop accès sur la procédure électorale de sorte que les élections sont apparu comme un instrument de légitimation du gouvernement mais ont réduit l'installation de la démocratie. [...]
[...] Les sociétés ne leur reconnaissent aucune souveraineté. Ces Etats disposent d'une souveraineté négative. C'est à dire que c'est une souveraineté formelle, protégé par l'extérieur. La positive, est substantiel, elle permet à l'Etat d'assurer les grandes fonctions, en mesure d'agir pleinement sur la scène politique extérieure, c'est l'acteur qui traite les problèmes intérieures. Les sociétés ne se réapproprie pas les modèles les références qui viennent d'autres cultures. Il n'y a pas réappropriation. Cette situation était à l'opposé de ce qui était recherché. [...]
[...] C'est pourquoi la pratique la plus répandu est la promotion de la démocratie. - L'autre modalité c'est un processus de propagation de la démocratie par la construction d'une structure d'opportunité favorable à la démocratisation. Cette explosion d'opération révèle un changement d'approche. Les conflits n'ont pas de rapport avec la puissance des Etats mais de la nature de l'Etat. c'est une recherche de sécurité générale et de ceux qui sont à l'origine de cette promotion. Promouvoir la démocratie fait plus que satisfaire nos idéaux, cela avance nos intérêt cette idée s'est renforcée après les attentats du 11 septembre. [...]
[...] Il y a l'idée de créer, d'exporter un modèle étatique. Enfin, après la 2nd guerre mondiale l'ONU s'est fixé comme objectif de faire évoluer les territoires dépouvu d'adm et d'appareil étatique. Volonté de favoriser la création étatique. Depuis les années 90, la construction étatique est devenue très pratiqué, elle est énoncé plus comme un projet mais comme une modalité de la gestion des problèmes de la sécurité internationale. Cet objectif figure dans l'agenda pour la paix, Boutros Boutros-ghali, en 1992. Cambodge placé sous autorité provisoire des NU en 1992. [...]
[...] l'exportation de la démocratie. Przeworski Adam : droit ouvert au citoyen de changer leur dirigeant par la voie des urnes sans contrainte de nature à modifier ce choix Le pluralisme ne suffit pas à définir la démocratie, il doit s'exercer sans contrainte. Il suppose des pouvoirs et des contre pouvoir, un espace libre laissé à la société civile . La démocratisation suppose l'édification d'une société civile. Fondement idéologique de la démocratisation : La paix démocratique, qui trouve son origine dans le projet de paix perpetuelle de Kant. [...]
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