Crise de juillet 1914, Première guerre mondiale, puissances mondiales, alliances militaires, relations internationales, économie, média, colonisation, militarisme, nationalisme, SDN Société des Nations, opportunisme, libéralisme, valeurs démocratiques, non-agression, constructivisme social, traités d'alliance
La crise de juillet 1914 a été le déclencheur de la Première Guerre mondiale, qui a été l'une des guerres les plus meurtrières de l'histoire de l'humanité. Elle a impliqué la plupart des grandes puissances mondiales, dont les empires britannique, allemand, français et russe, ainsi que de nombreux pays plus petits. La guerre a duré près de cinq ans, de 1914 à 1918, et a fait des millions de morts et de blessés.
[...] Voici quelques exemples de comment le libéralisme constructiviste peut expliquer la crise de juillet 1914 et la Première Guerre mondiale : Idéaux démocratiques : Les puissances européennes étaient souvent guidées par des idéaux démocratiques et par le désir de protéger les droits de l'homme. Cela a pu influencer leur comportement lors de la crise de juillet 1914, notamment en ce qui concerne leur soutien à la Serbie face à l'Autriche-Hongrie. Normes de non-agression : Il existait des normes internationales en faveur de la non-agression et de la résolution pacifique des conflits à cette époque. Cependant, ces normes ont été violées lors de la crise de juillet 1914, ce qui a conduit à la guerre. [...]
[...] Les personnalités des dirigeants : les dirigeants des différentes puissances européennes ont joué un rôle important dans la crise de juillet 1914. Par exemple, l'empereur d'Autriche-Hongrie, François-Joseph, était considéré comme étant déterminé et inflexible, tandis que l'empereur allemand, Guillaume II, était perçu comme impulsif et impétueux. Les médias : les journaux et les autres médias ont joué un rôle important dans la crise de juillet 1914 en diffusant des informations et des points de vue partiels et en exagérant les tensions internationales. [...]
[...] Gestion des crises et des guerres Il y a eu plusieurs tentatives pour gérer la crise de juillet 1914 et éviter la guerre, mais elles ont toutes échoué. Ces efforts sont les : Médiation de l'Empire britannique : Le Royaume-Uni a tenté de médier entre les différends entre l'Autriche-Hongrie et la Serbie, mais ces efforts ont échoué. Conférence de Londres : Une conférence a été convoquée à Londres en juillet 1914, à laquelle ont participé les représentants de l'Autriche-Hongrie, de la Serbie et de l'Empire britannique. [...]
[...] L'Allemagne : L'Allemagne était un allié de l'Autriche-Hongrie et a apporté son soutien à la déclaration de guerre de celle-ci. Elle a également invoqué ses propres traités d'alliance pour déclarer la guerre à la Russie et à la France. La Russie : La Russie était alliée de la Serbie et a déclaré la guerre à l'Autriche-Hongrie en réponse à la déclaration de guerre de cette dernière. Elle a également invoqué ses propres traités d'alliance pour déclarer la guerre à l'Allemagne et à l'Empire ottoman. [...]
[...] Les alliances militaires : les différentes puissances européennes étaient liées par des alliances militaires qui prévoyaient que chaque pays viendrait en aide à ses alliés en cas de conflit. Cela a contribué à l'escalade de la crise de juillet 1914, car chaque pays était soutenu par ses alliés. Les dépenses militaires : les principales puissances européennes ont consacré des sommes importantes à l'armement et à l'entraînement de leurs forces armées. En 1913, l'Allemagne a dépensé près de 4 milliards de marks (environ 1 milliard de dollars) pour ses forces armées, tandis que la France a dépensé environ 2,5 milliards de francs (environ 500 millions de dollars). [...]
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