Bipolarité, Détente, conception soviétique, conceptions occidentales, compétition, relations Est-Ouest
Il faut tout d'abord mettre l'accent sur la période entre les 2 guerres mondiales qui était caractérisée par la multipolarité.
La période post 1914-1918 était la continuation de la période précédente en ce sens que plusieurs états (Concert des Nations ou encore les 7 grandes puissances) jouaient un rôle international. Il en va tout autrement de la Seconde Guerre mondiale puisque tout le monde s'accorde à reconnaître que les débuts de la bipolarité coïncident avec la fin de la Seconde Guerre mondiale d'où la question de savoir qu'est-ce qui a change au niveau des rapports de force pour permettre l'émergence de deux états seulement ; c'est deux états qui vont devenir les 2 superpuissances les E-U et l'union soviétique. Sans céder à la tentation de l'historicité, force est de relever 5 événements qui ont contribué à la naissance du système bipolaire. En premier lieu, l'insistance de Staline a ce que l'armée rouge assume la libération de l'Europe de l'Est des forces nazis sont le concours de ces alliés occidentaux à faciliter sa domination sur cette partie du monde.
En second lieu, la 2e Guerre mondiale a été l'occasion de découvrir l'ampleur de la bombe atomique après avoir été utilisée par les Américains en aout 45 à Hiroshima et Nagasaki au Japon.
[...] Les Etats-Unis vont adoptes des attitudes similaires vis a vis de l'invasion sovietique de l'Afghanistan - Les EU et la guerre d'Afghanistan [ ] Malgres tout ca Washington a observe incidence complice lorsque la monarchie Afghan a ete renverse suivit du regime republicain. Cette attitude d'inaction a ete egalement observe lors de l'intervention politique et policiere sovietique qui a precede l'intervention militaire puis l'occupation plus restrincte de l'Afghanistan. Les reactions americaines ressemblaient a celles des sovietiques au Vietnam. A l'evidence les americains soucieux de la sauvegarde des droits de l'homme ont protestes contre l'invasion sovietique en lancant des appels a la solidarite avec le peuple Afghan. [...]
[...] Le gouvernement de la Republique populaire democratique de Coree dirigait par Kim il Sung est proclame. L'URSS et ses allies le reconnaissent immediatement et le 18 aout de la meme annee, Moscou annonce le retrait de ses troupes pour le 1er janvier 49. Les Americains leur emboittent le pas en reconnaissant le 1er janvier 49 le gov du Sud et en anoncant par la suite le depart de leur troupe acheve effectivement le 29 juin 49. Le 25 juin 1950, l'armee Nord Coreene franchit le 38eme parallele et envahit la Coree du Sud. [...]
[...] - La course aux armements et la lutte ideologique. Il s'agit d'une course sur le double temps des armements classiques et non conventionels. Sachant que la guerre froide tire benefice de l'existance de tous le spectre des moyens de force mais maintient l'emploi de la force dans des limites propres a elle c.a.d comportant abstention de l'emploi des armes aussi bien classique que nucleaire grace a la mise en œuvre constante de la strategie de disuasion. La disuasion vise a empecher une puissance adversaire de prendre la decision d'employer ses armes ou plus generalement d'agir ou de reagir en presence d'une situation donnee par l'existance d'un enssemble de disposition constituant une menace suffisante. [...]
[...] La conference de Bandung. Les observateurs n'ont pas tarient d'eloge vis a vis de cette conference. Selon l'algerien Mohamed Bedjaoui (Non alignement et droit international), il s'agit d'un grand consil geopolitique ou grand si non des temps modernes pour les opprimes, consil rassemblant : Des peuples qui avaient une conscience aigue de parler et d'agir pour l'Histoire et de prendre part a la naissance Pour Arthur Compte, Bandung etait la raison des Etats generaux des nations proletaires (Bandung tournant de l'Histoire). [...]
[...] Les agissements de partenaire sur le plan theorique. Il est connu que les superpuissances sont parveus a travers des traites et des accords de cooperation a asseoir leur relation bilateral sur des bases solides ou l'URSS jouissait a titre d'exemple du status de la nation la plus favorisee. Dans le domaine des relations politiques particulieres, les 2 avaient le dernier mot dans les affaires internationnales c'est ainsi que les crises des plus graves n'etaient pas la plupart du temps du ressort de l'ONU mais elles etaient debattues lors des sommet americano-sovietique. [...]
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