Le libéralisme est l'inverse du réalisme. Pour eux les humains sont nés bon et généreux et rationnel, société idyllique. Les inégalités, les guerres ont été engendrées par les développements des régimes monarchistes. Les libéraux il faut renverser les monarchistes, aristocratie et il faut installer le capitalisme et la démocratie pour trouver la paix. Le capitalisme apporte prospérité et la richesse.
Il n'y a pas de gros qui dominent, seulement de petits propriétaires. À l'époque ils ne conçoivent pas les monopoles ; plus ou moins égalité des personnes. Le capitalisme a besoin de marchés pour se développer donc se repend à travers toute la planète, c'est le début du commerce. La mondialisation de ces deux systèmes engendrera la prospérité et la paix, car le libre commerce enrichit toutes les nations et les démocraties ne se font pas la guerre.
Il existe des droits naturels individuels universels - droit à la vie, à la liberté, à la sécurité, à la propriété- que chaque être humain revendique : la démocratie et le capitalisme peuvent les faire respecter. La mondialisation de la démocratie peut conduire à l'instauration d'un gouvernement mondial (c'est la fin de l'anarchie).
Pour Ricardo il y a trois facteurs pour créer de la richesse qui ne sont pas répartis de la même façon entre les pays : les ressources naturelles, la main-d'œuvre, et le capital. Si les économistes échangent selon leur avantage comparatif ils vont augmenter leur profit. Il y a spécialisation des nations. C'est la seule condition pour Ricardo et Smith pour que tous les pays s'enrichissent. De plus, il faut enlever toutes les mesures protectionnistes qui appauvrirent les nations. Grâce à tout cela, il y a une égalité relative.
Réalistes et libéraux sont sur la même longueur d'onde. Mais pour les libéraux on peut collaborer pour leur intérêt alors que les réalistes non.
« On est protectionniste quand on est faible, on est libéral quand on est riche ». Pour les libéraux, les relations internationales englobent les relations stratégique, politique et économique.
[...] Les plus grandes lois qui gouvernent les relations internationales c'est que les états défendent leurs propres intérêts. Ils sont en compétitions. Les conditions de politiques étrangères peuvent varier entre Etats mais la finalité est la même c'est-à-dire d'augmenter leur puissance militaire d'un Etat. Les dirigeants politiques agissent de manière rationnelle car les décisions dépendent des intérêts politiques et stratégiques de leur Etat. Les Etats se servent de la morale pour justifier des politiques qui cherchent à protéger leur intérêt. Autonomie de la sphère politique. [...]
[...] La mondialisation du capitalisme aggrave les inégalités entre pays pauvres et pays riches. La seule solution est la révolution socialiste. Pour d'autres moins fermes dans leur propos pensent que la mondialisation du capitalisme atténue les inégalités entre pays pauvres et pays riches mais elle crée de nouvelles disparités sociales dans les pays développés et les nouveaux pays industriels. Cette situation créée des conditions favorables à l'unification des mouvements ouvriers du nord et du sud et à la révolution socialiste mondiale (I. [...]
[...] La 1re révolution fût les communes à Paris mais cela a été un échec. Pour réussir les prolétaires doivent avoir un parti. C'est donc en Russie que la véritable 1re révolution a eu lieu. Lénine a créé le parti bolchevik qui a renversé la Russie pour créer l'URSS. Lénine et Luxemburg pensent que le capitalisme est passé dans la phase ultime : l'impérialisme. D'énormes oligopoles financiers nés de la fusion des entreprises bancaires et industrielles, cherchent à conquérir de nouveaux territoires et d'agrandir leur puissance = guerre, colonie. [...]
[...] Les néo pensent que les relations internationales ont un rôle prépondérant dans l'interdépendance et à l'intégration économique. (Pouvoir de juridiction supranational). Avec le commerce il y a une interdépendance des pays, du coup les pays peuvent s'entendre sans hégémonie. La paix est évidente pour les libéraux comme pour les néolibéraux car il y a la démocratie et le capitalisme partout. Enfin la constitution d'une autorité supranationale est possible. Le néo-réalisme et le néolibéralisme La nature du système international est anarchique pour les 2 pensées (qu'il n'y a pas d'autorité centrale). [...]
[...] Il est toutefois important de réaliser que les valeurs subjectives, mises en relief par les théories critiques, jouent un rôle important dans la détermination du comportement des Etats, dans certaines circonstances. CONCLUSION: l'analyse des relations internationales requiert un cadre d'analyse éclectique, i.e. choix de plusieurs théories dont la nature varie en fonction de l'objet d'étude privilégié. Bibliographie indicative Thomas Hobbes de théorie de la science et politique (1988 : Paris, France) Colloque Thomas Hobbes : philosophie première, Yves Charles Zarka, et Jean Bernhardt (1er février 1990) Essais de philosophie, de science politique et d'économie de Friedrich A. [...]
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