Différents acteurs, relations internationales, États, Organisations Internationales, acteurs non étatiques
- Les Relations internationales (RI) se situent dans un endroit où convergent différentes disciplines : sciences po, histoire diplomatique, histoire, droit international public…
- Définition : Les RI ont la prétention de fonder leurs analyses sur « l'international », c'est situer le cadre des études au-delà des frontières du national, de l'État.
- Les RI aux 6 et 5èmes siècles avant JC, sont issues des premiers rapports des groupes humains : ils sont nés des premiers États politiques qui ont voulu créer des liens conflictuels, commerciaux, de coopération.
- Au fur et à mesure de l'élargissement interne de l'État, l'État se développe de façon externe aussi.
- Définition : c'est la relation externe qu'entretient l'État, c'est une construction historique née des besoins des Êtas d'entretenir des relations les uns avec les autres.
[...] La guerre est l'élément prédominant : on ne cherche pas à séduire, mais à réduire. On troue ce phénomène dans les guerres antiques : jeu d'influence classique fondé sur l'armée, sur la violence. Guerre : une puissance cherche à imposer militairement sa volonté à l'autre. Le sens du compromis n'est pas prédominant ici. La notion de jeu de puissance est fondamentale. Grâce à un jeu subtil, on arrivait à équilibrer les choses. Mais lorsque l'équilibre est atteint, c'est la guerre. Rivalité. [...]
[...] Tout le monde compris l'ONU) refuse de fermer les yeux sur la situation et se mettent d'accord sur le droit d'accéder à l'indépendance. = Le principe d'effectivité tombe. La France considérait le problème comme une situation de police et non de guerre : les soldats envoyés sur place sont-ils d'anciens combattants ? Nous exerçons l'effectivité de notre pouvoir sur tout notre territoire et le principe de non-intervention vous interdit d'intervenir. A l'inverse, les autres États vont prendre le raisonnement inverse : pour eux il n'y a qu'une effectivité (cette du peuple algérien) qui interdit qu'on retire au peuple son auto-détermination. [...]
[...] Des groupes divers se développent y compris des groupes terroristes. Il y a des économies parallèles qui se créent (drogues). 3 : le principe de soumission de l'État au droit international mondialisé Jamais l'État n'a accepté d'être soumis au droit avec autant d'évidence. La prédominance de la souveraineté, amène le droit international nul. Les pays du tiers-mode pensent que tout droit international issu des colonies ne s'applique pas au nôtre. C'est un droit relatif et bilatéral. Il n'existe pas de zones limitées. [...]
[...] Hobbes est le fondateur de la souveraineté au 15e. Il se demande comment imaginer une société pour les Léviathans, comment créer des règles ? Qui va gouverner le monstre lui-même ? N. Machiavel ou le Florentin : il ne rajoute rien à la théorie de Hobbes. Pour lui, plus on est perfide, plus on est autoritaire comme le Prince. L'État n'impose pas de contraintes tant qu'il règne. J. Bodin : l'État n'est pas susceptible d'être contraint, il ne vit pas en société, en communautés. [...]
[...] Les derniers à avoir imaginé que l'URSS disparaitrait, c'était les USA. Dès lors, la notion de superpuissance perd son sens initial, car les conditions qui furent à l'origine de l'apparition de ces puissances vont permettre l'apparition d'autres puissances. La guerre n'est plus exclusive aux deux puissances, mais elle est partagée. Risque de dissémination nucléaire. La prolifération nucléaire interdit à ceux qui disposent de la bombe de s'en servir. On peut en contrôler l'usage quand peu de monde la possède. D'autres puissance moyennes vont surgir : France, GB . [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture