Résoudre les problèmes internationaux : tel était l'objectif primaire des Nations Unies à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Par la suite 4 objectifs sont venus compléter le précédent : maintenir la paix et la sécurité dans le monde, développer les relations amicales entre les pays, réaliser la coopération internationale sur tous les sujets om elle peut être utile et être un centre où s'harmonisent les efforts des nations dans des objectifs communs.
« Quels moyens l'ONU utilise-t-elle pour combler ces missions sans pour autant imposer son pouvoir ? »
50 ans après leur création, les Casques Bleus sont, aujourd'hui la seule manière pour l'ONU d'intervenir sur les lieux les plus conflictuels. Ils ne sont pas une force militaire mais plutôt des forces d'interposition. Ils ont été mis en place pour maintenir la paix dans le monde. Leur « équipe » est essentiellement constituée de soldats et de policiers mais des civiles peuvent aussi faire partie des membres. Ils ne doivent pas toujours intervenir ; par exemple pour leur première mission en 1948, ils étaient simples observateurs pour le conflit arabo-israélien. L'usage de la Force est donc réservé dans les cas de légitime défense. La première fois qu'ils ont recours aux armes, c'était en 1956, lors de la crise du canal de Suez. Après plusieurs interventions dans le monde entier, les Casques Bleus prennent le rôle d'une police Internationale. Peu à peu, leurs objectifs se diversifient et deviennent économiques, administratifs et humanitaires. De plus, le fait de n'ouvrir le feu qu'en cas de légitime défense fut révisé car plusieurs massacres au Rwanda ou en Yougoslavie ont été commis par la population civile malgré la présence des Casques Bleus. Depuis donc, les mandats rédigés pour l'intervention des Casques Bleus autorisent l'usage de la force lorsque la population civile est en danger.
Cependant, on note quelques points négatifs ; en effet, les Casques Bleus n'interviennent pas partout, En 1995, pendant la Guerre de Bosnie, plus de 8 milles musulmans sont morts : aucune intervention des Casques Bleus. Un an auparavant, beaucoup de Rwandais sont morts alors que les Casques Bleus avaient averti plusieurs fois le siège des Etats-Unis de la situation du pays. Toutes les demandes d'intervention des Casques Bleus doivent être autorisées par le Conseil de Sécurité des Nations Unies situé aux Etats-Unis. De plus, concernant le budget accordé à cette force du maintien de la paix, celui-ci se trouve inférieur à celui consacré à la police des Etats-Unis.
[...] La liberté qui lui était accordée et la modernité qu'elle symbolisait doivent être les raisons de sa mort. La chaîne de télévision qu'elle animait Afghan'Star avait pour but de faire découvrir des jeunes chanteurs, sur le même principe que l'émission française, un gagnant était donc désigné. En Afghanistan, le gagnant de cette émission fut plusieurs fois menacé de mort. Mais malgré cela, le directeur de la chaîne envisage encore une prochaine saison Face à toutes ces violences liées à la religion, il est juste de se demander si le fait de l'associer au Terrorisme ne trouverait pas ses justifications au cœur même des pays musulmans. [...]
[...] Des doses d'irradiation dépassées Pendant cette période, de légères augmentations de la radioactivité ont été mesurées par des laboratoires néo-zélandais et australiens aux confins de la Polynésie française. Et le gouvernement français a reconnu que plusieurs expériences avaient entraîné des dépassements de doses d'irradiation admises pour les populations. Ainsi, en juillet 1966 (deux essais à 17 jours d'intervalle), des dépassements de 5 fois la dose annuelle admise ont été constatés aux îles Gambier (les plus proches atolls habités des essais nucléaires), à kilomètres à l'est de Papeete. [...]
[...] Toutes ces femmes cherchent à échapper à leurs maris et à fuir les vies qu'ils leur imposent. C'est la religion musulmane qui est à la source du problème : les hommes imposent trop de restrictions à leur épouse, ils veulent les soumettre à des valeurs très fortes qui les éloignent alors de toute liberté et les condamnent à être violentées. Les femmes n'ont pas le droit de conduire, de travailler, de recevoir des étrangers en plus d'être condamnées à rester chez elles. [...]
[...] Dans un différend opposant le Brésil, la Thaïlande et l'Australie à l'Union Européenne, l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) a jugé que l'Europe soutenait illégalement une grande partie de ses exportations de sucre. Celles-ci atteignent jusque 5 millions de tonnes chaque année malgré l'engagement pris dans le cadre du Cycle d'Uruguay de les réduire à 1 million maximum. Par ailleurs, le panel coton de l'OMC constate que les subsides octroyés par les Etats-Unis aux producteurs de coton ( 3.2 milliards de et les crédits à l'exportation ( 1.6 milliard de sont illégaux. [...]
[...] En effet, les normes concernant l'environnement sont transgressées : le bois est brûlé afin de cultiver plus facilement le sucre. De plus, les travailleurs ne bénéficient pas des lois s'appliquant sur les horaires de travail ; en moyenne, ils travaillent plus de 11 heures par jour. Outre l'argument des heures de travail, d'autres normes sociales ne sont pas appliquées : les agriculteurs sont traités comme des animaux et ils n'ont aucune sécurité dans leur profession. Lorsqu'un agriculteur se trouve blessé, il faut plusieurs heures avant qu'il soit soigné. [...]
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