Les apparences sont parfois trompeuses. Derrière le Taj Mahal, Bollywood, ou encore les saris colorés des indiennes se cache une réalité bien plus sombre.
Derrière cette facette de l'Inde se trouvent les mafias, la pauvreté et la misère. Cette dernière est telle que dans les régions les plus pauvres des morts gisent dans les rues.
La stratification sociale et la vie en Inde est très complexe, comparée aux pays occidentaux. Ceci est due à la religion dominante : l'hindouisme.
La population est hiérarchisée en groupes de personnes, appelés castes, selon des critères bien définis. Ainsi, certaines questions ont attisé notre curiosité (...)
[...] L'Inde excelle dans les sciences car elle possède beaucoup de chercheurs en informatique, biotechnologies, en hautes technologies et pharmacie. Cependant ,l'Inde a connu 2 phases de développement depuis 1947 : La première de 1947 à 1991 qui a permis à l'inde de se doter de recherche de haute qualité. Cela a aussi permis à l'inde de réussir sa « révolution verte » et donc de moderniser son agriculture, ce qui a conduit à une autosuffisance de l'Inde des 1970 sur le plan alimentaire. [...]
[...] Les castes existent depuis plus de trois mille ans. Ce sont des groupes sociaux qui différent considérablement en terme d'organisation sociale, de statut, de richesse et de culture. Leurs membres possèdent dès la naissance des caractéristiques et des obligations ou interdictions communes comme l'endogamie, les règles alimentaires et les signes vestimentaires. La société indienne est divisée en quatre principales castes, « Varna », qui sont associées à un métier ou à une tâche rituelle précise, créant ainsi une spécialisation héréditaire. [...]
[...] Il intègre le ministère des affaires étrangères du gouvernement de Nehru en 1949. Il devient peu après ambassadeur en Birmanie, puis dans les années 1970, en Chine, aux Etats-Unis, ainsi que en Thaïlande et en Turquie. Il se retire en 1978. En 1984, à la demande d'Indira Gandhi, il se présente comme député du Kerala où il est élu trois fois de suite en tant que membre du Parti du Congrès. Huit ans plus tard, bien qu'il soit originaire d'une caste d'intouchables traditionnellement exclue du pouvoir, il accède à la vice-présidence de la république. [...]
[...] 3-La société reste figée « 60% des indiens considèrent les castes comme substantielles contre 40% au lendemain de l'indépendance » C'est en effet la loi des castes qui prédomine sur le civil: Les intouchables sont encore relégués aux emplois considérés comme les plus dégradants . Ils travaillent dans les pires conditions. < number > Ils doivent boire l'eau des rivières ou des marres souvent non potables. Ils n'ont pas le droit de se rendre dans les ressources naturelles. Ils ne peuvent pas partager le repas avec d'autres castes ni servir à manger. De plus, ils n'ont pas le droit d'être propriétaires de terres. Ils doivent s'adresser aux gens de castes avec humilité, se courber, baisser les yeux. [...]
[...] Toutes ces discriminations ont aussi lieu dans les écoles. Les moindres gestes ou paroles des dalits peuvent devenir prétexte à un déchainement de violence de la part des gens de castes avec la complicité voire l'aide de la police. Car, même si la loi oblige les policiers à traiter les dalits comme les autres, les policiers ne s'en préoccupent pas. En cas d'atrocités contre les Dalits furent enregistrés par la police, sachant que ce chiffre reste bien inferieur à la réalité étant donné que beaucoup de victimes dalits renoncent à porter plainte par peur des représailles. [...]
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