Associations, influence des pouvoirs publics, Au Coeur de l'Artois, isomorphisme institutionnel, intérêt général, utilité publique, humanitaire, loi de 1901, patrimoine, communauté locale, Arras, collectivités locales, contraintes, partenariats stratégiques, autonomie, Covid-19, outils de performance, gouvernance, bénévolat, mémoire de Master
À l'ère du XXIe, le débat porte sur le comportement des institutions publiques auprès des associations. Les institutions s'intéressent grandement aux initiatives associatives, car c'est un outil stratégique externe pouvant intervenir sur le bien-être des individus en société. Les collectivités se sont rendu compte que "les questions difficiles ne sont pas toujours résolues par des experts qui auraient tous les savoirs, mais bien par les gens concernés eux-mêmes (Willemez, 2020). Il y a donc un travail collaboratif qui s'effectue entre les institutions et les associations, mais les marges de manoeuvre se révèlent être assez faibles, car les institutions adoptent des méthodes de plus en plus coercitives. En somme, la collaboration avec les institutions publiques est à double tranchant.
D'une part c'est un élément déclencheur de la réussite d'un projet, car elle peut donner toutes les clés pour l'accomplir. D'autre part, elle est capable de mettre à mal des idées précises en influençant des personnes à opter pour d'autres stratégies. C'est une façon de résumer la notion d'isomorphisme institutionnel. L'objet de cette recherche est d'analyser le rôle continu d'une institution sur la conception du projet associatif de l'association Au Coeur de l'Artois. Le but ultime de ce travail est de savoir si les structures associatives peuvent être victimes d'isomorphisme institutionnel. En partant d'un cas concret avec la présentation de l'association Au Coeur de l'Artois en première partie, une réflexion sera ensuite portée sur les réalités de l'isomorphisme institutionnel dans son contexte actuel. La troisième et dernière partie traitera de la nouvelle façon d'appréhender la collaboration entre les institutions publiques et les associations.
[...] Il y a donc un travail collaboratif qui s'effectue entre les institutions et les associations, mais les marges de manœuvre se révèlent être assez faibles, car les institutions adoptent des méthodes de plus en plus coercitives. En somme, la collaboration avec les institutions publiques est à double tranchant. D'une part c'est un élément déclencheur de la réussite d'un projet, car elle peut donner toutes les clés pour l'accomplir. D'autre part, elle est capable de mettre à mal des idées précises en influençant des personnes à opter pour d'autres stratégies. [...]
[...] La voiture écoresponsable pourra donc figurer comme « mascotte emblématique » pour le territoire artésien. Il serait donc intéressant de voir par la suite si le caractère écologique fait preuve de bonne conscience ou d'outils de communication. Les contraintes et malentendus institutionnels Il faut prendre conscience que les projets sans restriction n'existent pas dans l'environnement démocratique dans lequel nous vivons. Il ne faut pas voir la contrainte au sens fort comme cette idée de vouloir tout supprimer et repartir sur une autre voie totalement différente. [...]
[...] (2020, Mars). Coronavirus Resource Center. Laville, J. L. (2010). L'association comme lien social. Connexions, pp. 43- 54. Laville, J.-L. (2010). [...]
[...] Center Systems Science and Engineering est la plateforme numérique officielle des données relatives au COVID 19 Di Maggio et Powell cité par B. Enjolras dans « associations et isomorphisme institutionnel » p 74. P. Duez, De l'ancienne à la nouvelle économie sociale : la reconstitution du concept d'économie sociale Jean-Louis Laville, Décider en association, Revue Connexions 2014/1 (n° 101), pages 79 à 92. Définition de www.wikitionaire.fr Jean Louis Laville est un Sociologue français qui travaille essentiellement sur l'Économie Sociale et Solidaire, le monde associatif et la démocratie. [...]
[...] Tout d'abord on peut parler de l'efficacité des moyens humains et des pouvoirs de l'association. En effet, les grandes structures associatives disposent d'une visibilité importante par exemple l'association « Les Restos du Cœur »[32] avec ses bénévoles, qui couvre 58% de visibilité médiatique et possède 98% de notoriété globale en France. Le grand nombre de collaborateurs favorise la facilité du démarchage, car chaque bénévole constitue un réseau et si on prend 72000 personnes, l'attraction potentielle de nouveaux bénévoles ou de donateurs est importante. [...]
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