Pratiques de santé, système de santé, médecine scientifique, contrôle social, profession de médecin, hôpital
Institution hospitalière, médecine scientifique et pouvoir médical.
Naître et mourir à l'hôpital : Hôpital co-institution majeur. 90 % des Français naissent à l'hôpital et 75 % y meurt, et des passages au milieu de la vie.
État de la santé en France. L'espérance de vie a augmenté de trois mois par an depuis les années 90-2000. Les femmes ont une espérance de vie plus longue. On a une situation favorable pour la mortalité infantile, très favorable pour les personnes âgées, mais peu favorable pour les jeunes adultes et notamment les hommes. Dans l'ensemble un état sanitaire plutôt satisfaisant, c'est ce que pointe l'OMS.
Coût de la santé en France : Près de 10 % du PIB qui sont des dépenses de santé, même monter jusqu'à près de 12 % il y a 2 ans. En 1950, elles sont équivalentes à 2,7 %. Cet état de la santé qui est relativement satisfaisant est associé à un coup qui semble important.
L'offre des biens et des services médicaux (établissements, professions).
[...] = il ft ctrl ce qu'on font dans ces lieux, ce qui émerge en mm temps, idée pourrait avoir une thérapeutique à condit° qu'on s'en donne les x. Il faut rationnaliser = penser, ctrl, mesurer, vérifier qui va donner la méthode expérimentale par la suite. = soigne essentiellement des pauvres et indigènes. Aucuns moyens dans ces hopitaux et classes supérieurs vont dans des cliniques privées. L'état va se donner les moyens d'intervenir dans les hopitaux à partir de 45 pour que les hopitaux w A partir années 50 va avoir des classes aisés qui vont consultés un hôpital. [...]
[...] Il aide ainsi ses collègues en renversant la tendance. Il s'intéresse aux savoirs profanes. Il va réhabiliter le côté profane, le fait que le patient est un acteur et qu'il n'est pas seulement passif. Il réhabilite le travail d'acteur dans le corps médicale et il refus de se cantonner au monopole de la définition de la maladie par le corps médicale. Il y a une rupture par ce monopole. Fredson puis ses associés en suite ont une approche situationnel. Le diagnostic du médecin c'est bien autre chose qu'un simple contrôle social, il passe du sens pas comme un animal chez le vétérinaire. [...]
[...] Les cliniciens, refusent les fondamentalistes (font de la médecine fondamentale) qui sont mieux dotés scolairement et vont faire de la recherche. A l'opposition la médecine expérimentale, qui prend en compte les découvertes de la biochimie. Cette opposition va bloquer la réforme de l'hôpital car les cliniciens refusent les avancés et contrôlent le pouvoir. Robert Debré dit qu'au cours du 20ème siècle, la médecine a perdu son prestige au dépend des allemands, des états unis. B. Création des CHU et nouvelles missions des hôpitaux. [...]
[...] Deux fonctions qui s'opposent, deux visions. Celle de Parsons, pour lui le médecin organise son activité autour du fonctionnement biologique. Le malade étant celui qui ne répond pas à la norme. Pour Parsons, le malade c'est un état social déviant. Il y a donc un certains nombres de droit et de devoir assigné au patient quand le médecin fait le constat de la pathologie. Il voit le médecin comme un contrôleur social qui répare la déviance. Il y a quatre reproches à faire au modèle de Parsons : l'oublie de l'hétérogénéité des rapports entre malade et médecin in situ, il réfléchit en terme de maladie aigu (avec un pic) hors depuis les années 50 il y a un phénomène qui s'appelle les maladies chroniques et on n'a donc pas le même rapport au médecin ; il envisage la relation thérapeutique uniquement dans le cadre d'une consultation médicale classique & il enseigne une construction théorique à partir de la classe moyenne américaine, classe sociale qui joue le rôle de patient et répond au médecin (il joue le rôle alors cela fonctionne mais tout le monde ne joue pas ce jeu). [...]
[...] Il aborde les ajustements primaire et secondaire de cette carrière. Un ajustement primaire c'est l'idée que l'individu répond aux attentes de l'institution, il appelle ça des malades normaux. C'est-à- dire un individu programmée ou incorporé par l'ordre démocratique. Il y a des ajustements secondaires, c'est la vie clandestine de l'hôpital que l'on met en avant. Il y a tout un travail qui s'apparente à un travail de résistance, il caractérise toutes dispositions habituelles permettant à l'individu d'utiliser des moyens défendus, ou de parvenir à des fins illicites (ou les deux à la fois) et de tourner ainsi les prétentions de l'organisation relatives à ce qu'il devait faire ou recevoir, et partant à ce qu'il devait être. [...]
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