Fiche de révision de 4 pages sur la sociologie du groupe familial
Famille nucléaire : modèle de la famille réduite aux enfants + les parents sans les grands parents construite autour du couple marié, apparues en occident au XVIème et valable jusqu'à nos jours.
[...] La solidarité revient désormais à l'Etat. On est passé de solidarité mécanique à des solidarité organiques. - Structures petites enfance, aide à la mère qui W. Cette dépendance accrue / Etat assure de + en + d'autonomie affective et relationnelle / famille ( il faut organiser la régulation de cette autonomie accrue. 2ème point : autonomie accrue de la famille nucléaire / sa parenté : Ce qui fait famille n'est plus l'aïeul, ni le couple mais les enfants. Pour De Singly, la famille a une dimension à la fois publique et privée. [...]
[...] Les institutions ne pénètrent pas dans la famille et délègue au père. Le code juridique tourne pour l'essentiel autour de l'héritage. Et la famille est chargée de faire se poursuivre :la continuité du patrimoine, le respect des bonne mœurs et la paix sociale. Thèse d'Ariès : Dans ce système il n'est pas nécessaire d'évoquer les liens affectifs, mais il est plus pertinent de parler de puissance paternelle. Dans ce système l'enfant ne compte pas pour lui même, mais en tant que futur adulte avec sa future utilité (escrime, couture, travail au champ Pour Ariès, la bascule se fait par rapport à l'enfant avec l'arrivée de l'école au XVIème qui s'intéresse à l'enfant pour l'enfant. [...]
[...] Il y a une nouvelle norme sociale qui dit de réussir son divorce qui n'est plus une tare. Même dans le conflit, on peut dé contractualiser le lien et re contractualiser les rapports. 1er point : dépendance accrue de la famille / à l'Etat. - La réduction des liens de dépendance entre les individus de la famille se déplace vers une dépendance accrue des familles / l'Etat plus neutre. On glisse d'une logique de modèle familial à une logique individualiste. Chacun s'autonomise par rapport aux autres membres de la famille. [...]
[...] - La famille n'est plus le piler de base de la société comme à l'ancien régime. La brique élémentaire en étant devenu l'individu qui habite dans une famille. - La famille est instable car lieux d'expression des affects et à la fois lieu de leur accueil et de leur stabilisation. - Ce qui fait couple ce sont les relations entre soi et les affectes, le reste est accessoire comme le logement par ex. paradoxalement au courrant individualiste dominant. Adhésion ders conjoints au système actuel de valorisation de l'individualité. [...]
[...] Ce qui était contraint par le père a été intégré par la norme. L'affect devient la norme et il y a obligation de la respecter. Cette norme fonctionne comme s'il y avait obligation de s'aimer, c'est attendu, souhaité et valorisé par le corps social. - Pour faire couple, il fait s'aimer presque avec une notion de performance. Ce qui fait couple et famille sont les affectes le reste est accessoire. - L'école, la scolarité longue, est pour l'enfant non seulement une socialisation, mais aussi autonomisation / aux familles. [...]
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