Protection Sociale, techniques liées à la mondialisation, robotisation, informatisation, Internet, transport par conteneurs
Les règles juridiques internationales (dans les trente glorieuses, les états imposaient les règles et se mettaient d'accord. Aujourd'hui création de règles internationales qui s'impose aux États maintenant obliger d'obéir à ses règles).
Les règles européennes, sur la plupart des produits on a créé des règles et maintenant tous les pays, toutes les entreprises sont obligés d'appliquer les règles européennes et les états nationaux ont de moins en moins de pouvoir.
La protection sociale : Pour économistes, trois des mécanismes privés ou publics qui ont pour objectifs de résoudre ou de limiter un certain nombre de risques sociaux. (= Idée des conseillers du prince, il y aurait des risques dans la société que l'économiste va vouloir résoudre grâce à la protection sociale.)
[...] Le pouvoir d'achat est déterminé en analysant le revenu de la personne, son évolution et en diminuant son évolution de l'augmentation des prix. C'est très difficile de comparer les biens que l'on peut acheter à différent moment, car ces biens évoluent. Sur cette question-là on critique parfois l'Insee en disant quelle survalorise l'aspect qualitatif. Beaucoup de gens disent qu'en fait le pouvoir d'achat doit être comparé à la société dans laquelle on est. Une partie du pouvoir d'achat passe dans les logements. [...]
[...] On est ainsi obliger de les limiter en créant des franchises. Pendant toute cette période on a en fait une harmonie entre développement économiques, augmentation du pouvoir d'achat et développement de la sécurité sociale. A l'époque les deux éléments apparaissent complétement compatible. Plus on dépense en sécurité sociale, plus il y a une cohésion sociale, donc un dynamisme économique. Capitalisme c'est transformé et c'est développé avec des incertitudes (Castel). On a ainsi de nouveaux risques : - La question du pouvoir d'achat : durant le fordisme il augmentait environ de par an et il était donc facile de se projeter, on avait donc une faible incertitude et moins de risque. [...]
[...] Idée de base qu'en France on paie trop d'impôt, que cela démotive des gens. De toute façon il faut baisser les cotisations sociales et les impôts pour être compétitif c'est à dire baisser la protection sociale. On voit apparaître l'idée que l'on a faite trop de protection sociale en France, l'idée que le modèle français a créé des faux chômeurs, des assistées. L'état providence a imposé, a permis à des personnes non dynamique de gagner tant d'argent que des personnes actives. [...]
[...] Au 18ème siècle le capitalisme connaissait une crise de surproduction et il va avoir besoin d'une demande minimum, d'une régulation par l'Etat qui va apparaître après la 2nde Guerre Mondiale mais dont les prémisses commencent fin 19ème siècle. On voit au 19ème siècle beaucoup de non-respect de loi apparaitre, d'initiatives privées, et de mouvement protectionniste d'ordre privés. Tous ces dysfonctionnement rendre inévitable la naissance d'un Etat providence, que tout le monde souhaite basé sur le salariat. Robert Castel a montré que le salarié passait d'un contrat de travail simple à un statut. [...]
[...] Peut voir que la protection sociale vise avant tout les plus pauvres. Jusqu'aux années 70, pour les plus riches, les impôts vont jusqu'à 95%. En 70, les différents états ont voulus attirés les plus dynamiques et donc les impôts pour les plus riches ont baissé continuellement. Au départ quand on baisse ses impôts on attire ses entreprises, les autres pays font ensuite pareil, de nouveau pays vont encore plus loin et on voit apparaître des jeux perdant-perdant = au bout de 30 ans tous les pays ont perdu. [...]
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