Les années qui suivirent la Seconde Guerre Mondiale furent des années de changement. En effet, le gouvernement français a entrepris un système de redistribution inspiré des travaux de Keynes, d'hommes politiques et de syndicats. De ce fait, on constate un accroissement des prélèvements obligatoires (c'est-à-dire des cotisations sociales et des impôts) depuis cette période pour atteindre, à notre époque, un taux de 43,5 % du PIB français. A la suite de cela, doit-on réduire ces prélèvements obligatoires ou au contraire les laisser tels quels ? (...)
[...] L'Etat joue donc un rôle primordial en utilisant ces prélèvements obligatoires de manière positive pour le pays. Le double rôle de l'Etat L'Etat a deux rôles, un rôle d'assurance et un rôle d'assistance. Le premier rôle est celui où l'Etat prélève de l'argent aux salariés pour assurer l'avenir de ces derniers au cas où ils tomberaient malades ou au chômage, ou pour leur retraite. Le second rôle est qu'il aide les individus qui n'ont pas eu le temps de cotiser (en général ce sont les moins qualifiés et les jeunes qui sont touchés) en fournissant par exemple un revenu minimum d'insertion (RMI). [...]
[...] Beaucoup affirme qu'il faudrait réduire ces prélèvements pour permettre un plus grand pouvoir d'achat et une hausse de la demande, cependant, d'autres soulignent l'importance de ces derniers pour la protection sociale du salarié et de son emploi. En France, cette question est beaucoup contestée notamment avec le problème des retraites et de la Sécurité Sociale. Pire, avec un tel taux d'endettement, l'Europe pourrait bien donner une amende qui empirait la situation de la France. Ainsi, l'Etat va-t-il réduire les prélèvements obligatoires en risquant entre autres d'augmenter le déficit de la Sécurité Sociale ou au contraire va-t-il les maintenir ou les augmenter en risquant une baisse de pouvoir d'achat des salariés. [...]
[...] Doit-on réduire les prélèvements obligatoires ? Les années qui suivirent la Seconde Guerre Mondiale furent des années de changement. En effet, le gouvernement français a entrepris un système de redistribution inspiré des travaux de Keynes, d'hommes politiques et de syndicats. De ce fait, on constate un accroissement des prélèvements obligatoires (c'est-à-dire des cotisations sociales et des impôts) depuis cette période pour atteindre, à notre époque, un taux de du PIB français. A la suite de cela, doit-on réduire ces prélèvements obligatoires ou au contraire les laisser tels quels ? [...]
[...] L'Etat doit, pour eux, se désengager car il intervient trop et pour une plus faible intervention, il devrait réduire les prélèvements obligatoires. Cependant, la baisse de ces derniers aurait des conséquences très positives sur le marché que cela soit du côté des entreprises ou du côté des salariés. Au niveau économique En ce qui concerne les entreprises, si les prélèvements obligatoires baisseraient, elle auraient plus de profits et pourraient de ce fait, investir et s'agrandir. Le coût du travail serait réduit et donc cela entraînerait une incitation à l'embauche et une plus grande flexibilité. [...]
[...] En effet, une des bases de la République française est la solidarité, et seul un pays qui redistribue ses prélèvements obligatoires peut faire perdurer ces bases. Les prélèvements obligatoires, une protection indispensable pour les salariés Les prélèvements obligatoires ont été créés pour protéger le salarié, sa famille et son emploi. Une partie des prélèvements obligatoires (un tiers) est destiné aux organismes suivants : l'URSSAF, l'UNEDIC sui gère les allocations chômage via l'ASSEDIC. Une autre partie de ces prélèvements va à la redistribution horizontale c'est-à-dire qu'ils vont des personnes saines aux malades et des travailleurs aux chômeurs et à la redistribution verticale (des riches aux pauvres). [...]
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