Le monde est de plus en plus riche grâce à la mondialisation. Le PIB augmente depuis 1960. Le PIB mondiale a été multiplié par 10 entre 1960 et 1990 mais le PIB/hab n'est pas du tout le même : plus de la moitié des habitants de la planète sont en-dessous du seuil de la pauvreté (c-à-d 2$/jour). 26% des habitants de la planète sont en-dessous du seuil de pauvreté absolue (besoins primaires non satisfaits = survie = 1$/jour/pers) (...)
[...] Il y a de nombreux programmes conduits par les ONG mais ce ne sont que des gouttes d'eau. B. Liaison croissance et pauvreté La croissance est une condition indispensable pour diminuer la pauvreté. On sait qu'il y a de croissance du PIB/pers. Mais une baisse de est observée dans la population pauvre. Pour que ce soit efficace, il faut que cette croissance soit distribuée équitablement : croissance non suffisante. Cela entraîne une certaine dynamique (ex : Chine et Inde) et baisse considérablement la pauvreté grâce à une croissance économique très forte. [...]
[...] Depuis les années 80, dans les pays riches, on remet en cause le modèle fordiste des 30 glorieuses : emploi assuré, état providence (prélève aux actifs pour les malades, les retraités et les chômeurs), donc la consommation de masse augmente toujours. Fordisme : augmentation du salaire, plein emploi, recours à l'immigration massive car pénurie de main d'œuvre mais les secteurs du textile, les chantiers navals subissent de plein fouet la concurrence mondiale dès les premières années. Donc les avantages accordés à la population sont revus à la baisse. Fordisme : pacte social = salaire augmente toujours donc consommation augmente toujours mais tout vole en éclat. [...]
[...] Ex : RDC, Zaïre : minéral qui vaut plus que de l'or ruée qui favorise le pillage de la RDC par le nord et les pays voisins (qui organisent des conflits). La pauvreté extrême bloque la croissance car cela rend le pays vulnérable. Les ménages ne peuvent pas se protéger, ils ne peuvent que s'exposer. Ex : Afrique : rapport sur investissement est très bon mais peu d'entrepreneurs (juste exposés). En dessous d'un certain seuil (d'exposition aux catastrophes, d'éducation, la croissance est totalement bloquée : elle est encore plus vulnérable. [...]
[...] En ce moment, il y a de recul de la pauvreté par an (grâce notamment à la Chine et à l'Inde). S'il on ajoute tout depuis les années 90, cela réalise seulement la moitié de ce qu'il faudrait par an pour remplir ces objectifs. L'objectif de l'universalité de l'école primaire sera impossible avant 2015. Les femmes sont à privilégier pour le développement car c'est par elles qu'il se fait. Elles se plaignent surtout du manque de temps et de la fatigue physique. [...]
[...] Si les revenus moyens augmentent de 3%/an dans les pays pauvres et de dans les pays riches, il faudrait 70 ans avant que le revenu absolu des pays soit égal. Les inégalités mondiales sont visibles au niveau des importations. La part de marché des pays pauvres augmente dans les dernières décennies mis uniquement en Asie du Sud-Est (premier des échanges internationaux) car la part en Afrique subsaharienne diminue du commerce mondial). Les multinationales délocalisent pour diminuer les salaires donc on ne peut pas attendre d'elles qu'elles les augmentent. [...]
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