Guadeloupe, syndicalisme, Elie Domota, UGTG, injustice du patronat
Depuis plusieurs années maintenant, la Guadeloupe est un département français très syndicaliste.
Pourtant la population guadeloupéenne a toujours fermé les yeux sur l'injustice du patronat et du gouvernement français.
A travers ce dernier évènement que le collectif LKP a mené, beaucoup de problème ont été révélés au grand jour, ce qui montre qu'il y a énormément de changements à apporter au mode de vie des Guadeloupéens.
[...] Puis pour permettre la suite de l'évolution de notre île, le principal plan de travaille sera de créer la concurrence dans un maximum des secteurs qui sont aux mains d'une certaine catégorie ethnique de la population comme par exemple dans le secteur du commerce alimentaire, ou il existe une situation de monopole qui amène des dérives au niveau tarifaire qui est astronomique, quand on cherche à faire des comparaisons avec la métropole et l'île ont ce rend conte qu'il n'y a aucune justification logique à ces écarts considérable. Cette concurrence pourras amener la fin des profits faramineux que ces personnes ce fessait au dépriment de la population, mais aussi une certaine stabilité des tarifs, davantage de qualité et surtout une régularité aux niveaux social. [...]
[...] Malgré tout, le 20 janvier 2009, le syndicaliste Elie DOMOTA, secrétaire générale de l'UGTG a mis en place un collectif de plus de 40 association et syndicats qui ont formé le LKP ( lyannaj kont profitasyon). Cette date devait être une journée de grève générale en Guadeloupe, mais les choses ont déviés en chemin et notre petit paradis sous les tropiques c'est transformé en 44 jours d'île morte. La Guadeloupe a manifesté, lutté et s'est exprimé pendant tout ce temps. Des administrations, à la très petite entreprise, les salariés étaient révoltés par les méthodes de travail et surtout, la population guadeloupéenne vie chère. [...]
[...] La population guadeloupéenne a eu le privilège de participer à plusieurs émissions nationales qui étaient par exemple sept à huit spécial investigation (canal+), be world connections (télé Guadeloupe) etc . Les JT de toutes les chaines étaient axés en grands titres sur la Guadeloupe et la Martinique par la suite. Pourtant, les journalistes ont souvent détournés nos propos et nos actes. Ils parlaient des revendications exposées mais surtout d'attaque aux forces de l'ordre, en présentant nos population comme inflexibles et incompréhensives face à ces désaccords qui nous ont d'ailleurs fait perdre un syndicaliste militant de la CGTG, Jacques BINO. [...]
[...] Plus de de la jeunesse guadeloupéenne sort en milieu scolaire sans aucun diplôme et/ou compétence professionnel dans un domaine en sachant que l'embauche est quelque chose de difficile pour ceux qui possèdent des diplômes. Pourquoi cette situation ? Nous constatons souvent une injustice notoire face aux diplômés de nos îles car par exemple même après avoir fait des études d'ingénieur ou de cadre de direction, il arrive toujours que nos jeunes reviennent au pays pour y travailler et réalise que les postes sont déjà pris par des étrangers d'origine métropolitaine. [...]
[...] Un département ou le taux de criminalité ne n'existerais même pas. Mais surtout une île ou sa jeunesse puisse ce permette de choisir n'importe quel orientation scolaire, sachant que quelque soit son cursus universitaire qu'il pourras continuer. Parce qu'il possèdent les moyens, mais aussi le fait qu'il n'auras pas à ce déplacé. Puis sur un archipel ou nos jeunes sortirons diplômer en sachant qu'il seront choisi pour un poste auquel ils auraient été candidats grâce leurs compétences intellectuelles, non en faveurs d'une tierce connaissance qui voulais bien qu'il obtienne ce poste. [...]
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