Faim dans le monde, Afrique subsaharienne, Issoufou Zaïda, XXIe siècle, denrées alimentaires, auto-suffisante
Aujourd'hui, la faim dans le monde est sans doute le problème, la préoccupation majeure. L'Afrique subsaharienne cumules les problèmes la concernant et sa population constitue la plus grande part des sous-alimentés, il est donc urgent de trouver des solutions efficaces.
[...] La faim dans le monde, le cas de l'Afrique subsaharienne avec l'exemple d'Issoufou Zaïda Aujourd'hui, la faim dans le monde est sans doute le problème, la préoccupation majeure. L'Afrique subsaharienne cumules les problèmes la concernant et sa population constitue la plus grande part des sous- alimentés, il est donc urgent de trouver des solutions efficaces. A l'heure actuelle, c'est 30% de la population subsaharienne qui est victime de la faim. Pour cause, une croissance démographique supérieure à l'amélioration de la production agricole, une perte des surfaces cultivables (certaines méthodes de défrichement, comme la culture sur brûlis rendent la terre stérile après plusieurs années), manque de matériel agricole convenable, problèmes liés au climat (sécheresse), manque d'irrigation (pourtant, les sources d'eau potables ne manquent pas, c'est bel et bien le manque de moyens pour l'extraire et la traiter qui engendre une pénurie) . [...]
[...] La distribution de nourriture et les dons de semences, quant à elles, doivent peu à peu diminuer pour libérer l'Afrique du nord. Ils ne pourront pas dépendre éternellement des pays développés, une solution durable doit être mise en place. Les véritables solutions sont donc de mettre en place une agriculture durable et plus productive (avec une aide financière des nord) et d'avoir un mode de consommation différent, avoir une répartition plus égale des richesses alimentaires à l'échelle mondiale (il y a 800 millions d'obèses pour 1 milliard de sous-alimentés). [...]
[...] L'exemple d'Issoufou Zaïda, un paysan Burkinabé interviewé dans le monde le 16 Octobre 2010 démontre l'importance de cette aide dans certaines provinces : grâce aux dons de semences, il peut désormais nourrir ses sept enfants, chose qu'il avait du mal à faire auparavant. L'importation de denrées alimentaires peut s'avérer une solution utile pour les populations les plus aisées, qui ne vivent pas de leur propre production (appelée agriculture vivrière). Dans le mode de production, sur le court terme, l'agriculture vivrière s'avère utile à l'échelle nationale : elle augmente les rendements et évite les famines. Le bémol ? L'agriculture vivrière détruit les surfaces cultivables. [...]
[...] Les auteurs de l'article traitant d'Issoufou Zaïda regardent la situation d'un autre œil que lui. Ils semblent pessimistes puis-ce qu'ils disent que le butin n'est pas lourd il est certes utile, mais ce n'est pas suffisant, sous-entendent-ils. Les méthodes employées ont leurs limites. La principale limite est celle du développement durable. Le mode de production actuel (l'agriculture vivrière) détruit l'écosystème et n'est pas une solution pour le long terme, bien au contraire. Elle encourage la désertification et la destruction des sols. [...]
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