Dissertation de Sciences Sociales: Doit on remettre en cause la Protection Sociale en France ? (2 pages)
Ajouté à ces problèmes concret, s'ajoute de réel débordement de la part des bénéficiaires, on parle de deux théorie : celle de l'aléa moral et du passager clandestin. L'aléa morale c'est le fait qu'un assuré du fait même qu'il est assuré, a un comportement moins prudent et entraine des dépenses supplémentaires assumées par la collectivité. Le passager clandestin, c'est celui qui bénéficie d'un avantage sans en supporter le coût. Toutes les dépenses (ex : assurance maladie) sont supportées par la collectivité, entrainant parfois un comportement excessif de ceux qui perçoivent ces aides ?
Nous pouvons donc en conclure que notre système de nature contributive, résiste mal aux problèmes nés de la crise économique. Il faut aussi noter que depuis ces dernières années, notre pouvoir d'achat donc notre revenu à très peu diminué , conséquence d'une forte inflation mais que pour autant les prélèvements ont fortement augmentés. Même si il y a des failles dans notre système, des pays comme les Etats Unis nous envie, quand ont sais que dans leur pays il faut avoir cotisé pour bénéficier de soins, un médecin serai prêt à ne pas soigner une personne non cotisante.
Reste à savoir entre le modèle nordique et le modèle anglo-saxon/ américain lequel est le plus rationnel ?
[...] Doit on remettre en cause la Protection Sociale en France ? Alors que le monde traverse actuellement une période de crise, ayant un impact sur notre façon de vivre, la France peut s'estimer heureuse de bénéficier d'un système de protection sociale aussi tolérant . Une sécurité assurée à tous points de vues : Maladie, Vieillesse mais aussi Famille. La sécurité sociale c'est un ensemble d'institutions qui ont pour fonction de nous protéger des risques sociaux. Il s'agit de situations susceptibles de compromettre la sécurité économique de l'individu ou de sa famille, en provoquant une baisse de ses ressources ou une hausse de ses dépenses (vieillesse, maladie, invalidité, chômage, maternité, charges de famille, etc.) Mais ne faut il pas critiquer l'organisation du système de protection sociale en France ? [...]
[...] Le financement de la protection sociale provient : - des cotisations sociale, elle finance les 2/3 des dépenses. - Les contributions publiques, l'Etat finance directement. - Les taxes et les impôts ( alcools, tabac), CSG (contribution sociale généralisé), CRDS (contribution remboursement de la dette sociale). En clair, notre système de protection sociale, est organisé de manière à réduire les écarts entre les individus et à aider ceux qui sont dans une situation de risque Mais son financement et son fonctionnement son t'ils vraiment toujours d'actualité ? [...]
[...] Le passager clandestin, c'est celui qui bénéficie d'un avantage sans en supporter le coût. Toutes les dépenses (ex : assurance maladie) sont supportées par la collectivité, entrainant parfois un comportement excessif de ceux qui perçoivent ces aides . Nous pouvons donc en conclure que notre système de nature contributive, résiste mal aux problèmes nés de la crise économique. Il faut aussi noter que depuis ces dernières années, notre pouvoir d'achat donc notre revenu à très peu diminué , conséquence d'une forte inflation mais que pour autant les prélèvements ont fortement augmentés. [...]
[...] Le modèle Beveridgien, tous les individus sont couverts au nom de la solidarité sociale afin d'éradiquer la pauvreté. Ce système est financé par l'impôt. La redistribution parvient à créer une cohésion sociale entre les individus, à titre d'exemple : l'écart du niveau de vie entre les modestes et les plus aisés et de 3,8 contre 6,8 avant redistribution. La redistribution à plusieurs objectifs, elle a premier lieu des objectifs économiques : la production de biens et services collectif apporte des externalités positives (ex : infrastructures de transport et santé). [...]
[...] Avec le temps, on a pu remarquer qu'il y a des failles dans ce système. Tout d'abord, le fait qu'il existe un plafond au-delà duquel les taux de cotisations sont réduit fait que les titulaires de bas revenus paies proportionnellement plus que les titulaires de haut revenus. De plus d'autres prestations ne sont pas soumissent aux conditions de ressources (ex : les allocations familiales c'est à dire qu'elles sont perçues quel que soit le revenu. Ainsi notre système fiscal privilégient les impôts indirect non progressif (ex : tva) plutôt que les impôts direct progressif ( ex : impôts sur le revenu), expliquant une mauvaise répartition verticale. [...]
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