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Environ 1,1 milliard de personnes n'ont pas accès à l'eau potable et 12 millions en meurent chaque année. Cela représente donc un problème majeur dans les pays pauvres.
Ceci est d'autant plus problématique qu'il ne suscite pas vraiment l'inquiétude chez les grandes instances ou les pays les plus influents du monde.
Pourtant les conséquences liées à l'accessibilité à l'eau potable sont potentiellement graves. Les pénuries d'eau provoquent par exemple des pénuries de nourriture donc la malnutrition.
Dans certaines régions de la planète, femmes et enfants sont trop occupés à transporter l'eau et cette activité les empêche de travailler, d'aller à l'école. La distance moyenne parcourue à pied par les femmes d'Afrique et d'Asie est en moyenne de six kilomètres. Ce temps perdu pourrait servir à des activités productives, à l'éducation des enfants par exemple
[...] Ce recours quasi inexistant a pour conséquence l'incapacité de collecter ou d'utiliser l'eau disponible le plus efficacement possible. Le gaspillage paraît alors inévitable. Une étude de la Banque Mondiale montre que dans 32 villes asiatiques sur 50, la quantité gaspillée dépasse les 30%. En Amérique Latine, le chiffre se situe entre 40 et 70% et dans des pays comme le Bangladesh, les Philippines ou la Thaïlande, le pourcentage est de 50%. De plus, la question de l'eau est loin d'être prioritaire pour ces gouvernements qui privilégient d'autres investissements. [...]
[...] Le constat sur l'état actuel de l'accès à l'eau dans les pays pauvres Environ 1,1 milliard de personnes n'ont pas accès à l'eau potable et 12 millions en meurent chaque année. Cela représente donc un problème majeur dans les pays pauvres. Ceci est d'autant plus problématique qu'il ne suscite pas vraiment l'inquiétude chez les grandes instances ou les pays les plus influents du monde. Pourtant les conséquences liées à l'accessibilité à l'eau potable sont potentiellement graves. Les pénuries d'eau provoquent par exemple des pénuries de nourriture donc la malnutrition. [...]
[...] Tout d'abord, nous pouvons noter un manque d'investissement et de maintenance Les dirigeants n'ont jamais donné la priorité à l'eau. Moins de des investissements dans les infrastructures ont concerné le secteur de l'eau. Selon un rapport du World Water Coucil, un think thank international, dans les 25 prochaines années milliards d'euros devront être investit par an pour garantir l'accès universel à l'eau. Aujourd'hui, le montant est de 70-80 milliards d'euros. Ainsi un sous investissement exclut une partie de la population du réseau d'eau potable. [...]
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