Pratiques innovantes en relations de travail, partage équitable, gains de productivité, accès à l'information, formation, participation du syndicat dans la coopération
L'article de Mélanie Larouche résume bien les différents changements dans les milieux de travail au Québec au niveau de l'évolution des relations de travail entre les organisations, les syndicats ainsi que les employés. L'ensemble global de l'article démontre, basé sur des études réalisées par le Ministère du Travail, que les relations de travail se sont modifiées d'année en année pour permettre une meilleure régulation de résolution de conflits apparents lors de négociation collective. L'on remarque que les conflits engendrés par les problématiques dans le milieu organisationnel ont chuté en nombre depuis les trente dernières années. Auparavant, l'on pouvait retrouver des conventions collectives de courtes durées ce qui influençait sur le nombre de conflits présents sur une période de temps précis. Une évolution sur le plan des conventions collectives a permis d'atténuer ce nombre, en prolongeant la durée de ces conventions collectives. Le désir marqué de l'ensemble des acteurs de l'organisation pour un climat de coopération patronale-syndicale s'en refait sentir et de plus en plus de ceux-ci utilisent une méthode concertante afin de concilier les nombreux intérêts de chacun. L'émergence de comités de concertation sont créés, par exemple, le comité de relations du travail, ce qui rend l'univers de la négociation beaucoup plus axé sur la prise de conscience mutuelle des parties, la confiance, la communication ainsi qu'une collaboration bonifiée.
[...] Seront-ils enclins à envisager la concertation comme fin de règlement de conflits? La formation Le défi des organisations concernant la compétitivité, c'est-à-dire la productivité supposent l'importance reliés à la formation des employés. Comme le mentionne l'article, on constate une très forte augmentation de clauses collectives qui s'intéresse au développement des compétences ainsi que de la formation professionnel. Tout comme le souligne la Loi sur la formation et la qualification professionnelle de la main-d'œuvre, où l'organisation doit débourser dans la formation, a provoqué cette augmentation. [...]
[...] L'on remarque que les conflits engendrés par les problématiques dans le milieu organisationnel ont chuté en nombre depuis les trente dernières années. Auparavant, l'on pouvait retrouver des conventions collectives de courtes durées ce qui influençait sur le nombre de conflits présents sur une période de temps précis. Une évolution sur le plan des conventions collectives a permis d'atténuer ce nombre, en prolongeant la durée de ces conventions collectives. Le désir marqué de l'ensemble des acteurs de l'organisation pour un climat de coopération patronale-syndicale s'en refait sentir et de plus en plus de ceux-ci utilisent une méthode concertante afin de concilier les nombreux intérêts de chacun. [...]
[...] Par conséquent, le principe de coopération est-elle une façon pour l'entreprise d'obtenir ce qu'elle désire en ce sens. Son objectif est de développer la main-d'œuvre mais quand est-il de l'intérêt que révèle ce constat pour le syndicat? L'objectif est-il envisageable comme étant un intérêt commun pour les deux parties. L'on doit pouvoir entrevoir un signe gagnant-gagnant pour chacune des parties sinon le mouvement coopératif ne peut se faire promouvoir et donc la paix industrielle compromise. [...]
[...] Quatre volets sont expliqués par Mélanie Larouche afin de vérifier l'atteinte de la paix industrielle au sein des organisations. L'auteure s'est inspirée des grands axes établis par une équipe formés des représentants des grandes centrales syndicales québécoise : la participation des travailleurs et de leur syndicat dans la prise des décisions, une meilleure protection des travailleurs, la répartition équitable et transparente des gains de productivité et la formation de la main-d'œuvre. Dans cette article, l'on démontre les efforts mis en place par les différents organisations d'améliorer leur compétitivité ainsi que d'accentuer leur flexibilité. [...]
[...] Les organisations agissent de façon contradictoire lorsque celles-ci instaure un mouvement vers des méthodes de négociations coopératives, alors qu'ils n'évoluent pas en sens. L'accès à l'information De plus, les organisations se protègent en octroyant pas l'accès au renseignement de l'entreprise tant économique que sur son évolution financière. Le manque d'information relatif à l'entreprise ne permet pas une égalité de traitement face aux négociations collectives entre les parties. L'organisation se doit d'être transparente afin de démontrer l'engagement à la coopération patronal-syndicale. [...]
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